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Hausse des prix des matières premières et des produits finis : quels impacts sur vos stratégies SEA ?

Table des matières [TIPS 2/6] Tips 1 : Les nouvelles fonctionnalités e-commerce et SEA qui auront un impact sur vos ventes en ligne en 2022 En Octobre 2021, le Taux d’inflation en France atteignait 3,2% contre 2,7% en Septembre et 0,1% en Octobre 2020 (1). Une augmentation exponentielle mais qui reste en cohérence avec celle de l’Union Européenne.   Août 2020 Septembre 2020 Octobre 2020 Juillet 2021 Août 2021 Septembre 2021 Octobre 2021 UE 0,3 2,3 2,2 2,5 3,2 3,6 4,4 France 0,1 1,8 1,9 1,5 2,4 2,7 3,2 Une inflation progressive depuis 1 an dans un premier temps, mais qui a connu une augmentation subite depuis l’été 2021 dans un second temps. Quelle est la hausse des prix des différentes matières premières ? Quel impact cette inflation du prix des matières premières a-t-elle sur le prix final des produits issus des différents secteurs ? Quel impact sur vos stratégies SEA ?   Zoom sur ce phénomène économique qui impacte le prix des produits vendus en ligne ainsi que les marges des e-commerçants. La hausse de prix des matières premières Le hausse du prix des matières premières est plutôt homogène pour l’ensemble des matières premières avec des fluctuations entre +37.5% et +50%. Après avoir connu un pic en Mai 2021 de +270% le prix du bois est finalement redescendu au second semestre pour atteindre le même niveau qu’il y a un an, même s’il reste plus haut de 27% environ que les années 2018 et 2019. La hausse du prix des produits finis La hausse du prix des matières premières a entraîné une hausse du prix des produits manufacturés de 6,8% en moyenne. Zoom sur les différents secteurs concernés ! Secteur de l’ameublement Le secteur de l’ameublement a connu une hausse annuelle de 4,2% (1), avec certaines catégories de meubles au-delà de cette moyenne :  7% pour les matelas et oreillers +10% à 40% sur les meubles en bois Certains directeurs de magasins de meubles prévoient même d’augmenter leurs tarifs de 10 à 15% en 2022. Secteur des jeux et jouets A la rentrée 2021, le prix de 70% des jouets avait augmenté (2) d’environ 3,4% (1). Concrètement, sur les catalogues de jouets distribués en fin d’année, c’est en moyenne +5 euros appliqués aux produits finis. Comme le secteur de l’ameublement, ce secteur est relativement touché par la hausse exorbitante du prix du bois cette année, mais que, les jouets électroniques ont également été impactés par la hausse du prix des composants : +42% pour les jouets électroniques (3) +10% à 40% pour les jouets en bois (3) +4 à 20% pour les jeux issus d’autres matières (3) Pas d’augmentation pour les jeux de société (3) Secteur de la beauté Le secteur de la beauté a connu une hausse plus “raisonnable” que les autres secteurs avec +0,7% d’augmentation annuelle (1). Une variation principalement dûe à la hausse du prix des packagings ainsi que celle du transport.  Fin août 2021, le polypropylène et le polyéthylène, deux matières utilisées pour les packagings de produits de beauté, avaient bondi respectivement de 70% et 60%, en moyenne sur les douze derniers mois. Certains industriels du packaging ont augmenté leurs prix de 10% à 15%. Secteur de l’habillement Le secteur de l’habillement, vêtements et chaussures confondus, fait parti des secteurs les plus touchés. Les acteurs de ce secteur ont répercuté la hausse du prix des matières premières sur les produits finis pour atteindre +4,6% d’augmentation annuelle (1). Quelles sont les prévisions pour 2022 ?  L’IFM (Institut Français de la Mode) interroge tous les mois 100 marques et enseignes sur l’évolution de leurs prix :  34% ont prédit une stabilité de leurs tarifs en 2022 49% ont prédit une hausse de leurs tarifs de vente de 0 à 5% en 2022 9%  ont prédit une hausse de leurs tarifs de vente de 5 à 10% en 2022 Pour la nouvelle saison, et après une période de production en juste à temps, l’ICAC (Comité consultatif international du coton) attend une production mondiale de 25,7 millions de tonnes dans l’industrie de l’habillement, en croissance de 6% mais toujours inférieure au niveau pré-pandémique. Secteur de l’automobile Le secteur de l’automobile, lui, a connu une hausse générale annuelle des prix d’environ 1,1% (1). Selon une étude de L’argus, la voiture moyenne en France a vu son prix gonfler de 7 000 € entre 2010 et 2020, passant de 19 767 € à 26 789 €. Cette hausse étendue sur une décennie a été amplifiée par le phénomène de pénurie de produits finis qu’a connu l’année 2021. Une pénurie inédite, qui selon ses experts, devrait continuer d’entraîner une hausse moyenne des tarifs de voitures neuves entre 3% et 6%. Ces hausses des prix générales sur les produits finis peuvent paraître sur-estimées par rapport à la hausse du prix des matières premières, mais elles permettent au contraire, d’amortir la hausse des autres frais annexes qui n’est pas négligeable. Notamment pour la hausse du prix du transport : +3,7% pour le transport routier et +8,1% pour le transport aérien. Globalement, le coût d’acheminement d’un conteneur d’Asie vers l’Europe serait passé de « 2 700 dollars à près de 20 000 dollars » ces 14 derniers mois selon le président de l’enseigne PicWicToys, Romain Mulliez, interrogé le 30 septembre sur BFM TV. Mais également pour la hausse du prix des loyers (+1,3%), du gaz (+12,6%) et du pétrole avec +26,7% pour le SP98, 28,9% pour le SP95 et +23,6% pour le gazole (4). Quelles prévisions en terme de hausse des prix pour les 4 prochaines années ? Statista a dressé un graphique prévisionnel du taux de variation de l’IPCH (Indice des prix à la consommation harmonisé) sur les prochaines années, et le phénomène inflationniste ne semble pas désemplir. Dans ce contexte, l’enjeu majeur est d’adapter vôtres stratégie d’acquisition pour qu’elle réponde aux objectifs marketing fixés (chiffre d’affaires, ROI, etc…). Cela passe par 3 axes d’amélioration : Ouvrir votre acquisition aux différents leviers d’acquisition plus ROIstes que ceux déjà en place : nous accompagnons nos clients vers

Publicité en BtoB : les leviers d’acquisition SEA rentables et durables

SOMMAIRE : Quelles sont les retombées de la publicité BtoB ? Vers une stratégie beaucoup plus efficace pour les entreprises BtoB Les moyens qui sont à notre disposition  Aujourd’hui en pleine évolution, la publicité BtoB est de plus en plus utilisée par les entreprises. Le BtoB “Business to Business” désigne l’activité commerciale inter-entreprises pour lesquelles les clients et les prospects sont des entreprises. Nous avons déjà tous été confrontés au SEA sur le web en effectuant des recherches. Facilement distinguable, on le reconnaît par la mention « lien sponsorisé » ou « annonce ». Le SEA se distingue du SEO « Search Engine Optimization » qui quant à lui est un référencement naturel en vue d’améliorer le positionnement d’un site sans publicités. Le SEO utilise lui des mots-clés et des outils tels que les balises et les codes HTML. Le SEO étant une stratégie naturelle, il permet en étant liée au SEA, de faire perdurer le référencement dans le temps. Quelles sont les retombées de la publicité BtoB ? Pourquoi les entreprises utilisent-elles un référencement payant ? Quelles en sont les retombées ? L’investissement vaut-il le coup ? Certaines entreprises sont prêtes à consacrer une part importante de leur budget à la Publicité BtoB sur les moteurs de recherche, le SEA « Search Engine Advertising ». La publicité BtoB permet d’assurer une présence et une visibilité non négligeable en ligne. Considérée comme la stratégie de publicité la plus efficace, le SEA permet aux entreprises d’obtenir des résultats immédiatement et de cibler des prospects intéréssés. Quelques minutes après la mise en ligne de la campagne, l’entreprise se retrouve déjà visible sur le web. Combiné au SEO (référencement naturel), le SEA permet de générer un trafic très large. Très bénéfique pour la notoriété d’une entreprise, le SEA lui apportera toute la visibilité dont elle a besoin pour s’inscrire dans un marché concurrentiel toujours plus important.  Évidemment, l’investissement dans une stratégie marketing digitale de SEA n’a qu’un objectif final : attirer des potentiels clients et fidéliser les clients actuels afin de réaliser plus de ventes en ligne.   Vers une stratégie beaucoup plus efficace pour les entreprises BtoB Le référencement SEA a prouvé son efficacité. Seulement, il existe des astuces pour que celle-ci soit davantage performante.  Un site e-commerce BtoB de qualité Parallèlement, l’entreprise devra avoir construit au préalable un site internet de qualité et efficace pour rentabiliser au maximum son référencement publicitaire. Elle devra soigner la qualité de ses contenus, la qualité rédactionnelle de ses articles et son aspect visuel qu’il concerne les images, les vidéos ou encore la mise en forme de ses pages. Autre point auquel plusieurs entreprises ne s’assurent pas avant d’investir dans une stratégie marketing, c’est celui de la performance du site internet. Aujourd’hui, la majorité des recherches sur le web se font à l’aide d’un téléphone portable ou bien d’une tablette. Leur site devra être totalement en capacité d’accueillir ces appareils afin de ne pas faire fuir les visiteurs. Le chargement des pages du site devra être rapide pour les moins patients. Le contenu devra être clair et précis afin de répondre aux questions des internautes et accrocher leur attention. Le choix des mots-clés pour des campagnes de publicité BtoB Le principe est simple, l’entreprise doit choisir les mots-clés pertinents en rapport avec son activité, ses services ou ses produits, mais aussi les besoins de ses internautes. En pratique, le travail est plus méticuleux qu’il n’y paraît puisque les mots-clés les plus accrocheurs permettront ainsi de renvoyer les internautes vers l’annonce. En revanche, certains mots-clés doivent être bannis afin de ne pas au contraire donner l’effet inverse en termes de visibilité sur le web. Les mots-clés avec un niveau de concurrence élevé doivent être laissés de côté et ceux avec un bon volume de recherche doivent être privilégiés.  Les expressions attirantes pour le consommateur doivent donc être travaillées, notamment celles incluant les termes de « prix », « réduction », « magasin », « promotion ». Le marché doit être auparavant analysé ainsi que celui de la concurrence afin d’en détecter les failles, afin que la faiblesse des concurrents soit la force de l’entreprise. Un travail d’analyse réalisé par l’entreprise lui permettra de déterminer ses audiences en fonction de ses cibles. Tout cela dans le but d’adresser des contenus pertinents aux bons profils et d’adapter ainsi les messages qui y sont donnés. Les intentions des internautes devront donc être bien comprises en premier lieu afin de mener à de fortes intentions d’achat. Des critères sont donc très importants à prendre en compte : la localisation, la catégorie socioprofessionnelle, le type d’appareil utilisé, etc. Un budget adapté à vos objectifs de rentabilité L’entreprise doit se fixer des objectifs marketing concrets dès le début de la campagne afin d’y voir plus clair sur son investissement. Elle devra définir un budget quotidien pour ses annonces publicitaires et l’adapter au besoin. Les experts en stratégie marketing estiment que les objectifs à atteindre en termes de taux d’impression doivent être de 80% pour les campagnes les plus performantes et 90% pour les campagnes liées à l’achat de mots-clés liés à la marque. Un suivi des résultats est primordial pour identifier les points faibles et les points d’amélioration. Le référencement SEA est adapté à toutes les entreprises quelle qu’elle soit. Il s’adresse aux très petites entreprises comme aux grandes, aux marques, aux associations, aux personnes…etc. Les moyens qui sont à notre disposition  Il existe aujourd’hui plusieurs moyens d’adhérer à une stratégie marketing de campagne publicitaire. La publicité BtoB sur moteurs de recherche Google Ads (anciennement Google AdWords) est le premier moteur de recherche à proposer ses services. D’autres moteurs de recherche proposent également cette stratégie marketing : Bing, Yahoo, et tant d’autres. Une grande majorité des agences marketing proposent aujourd’hui cette stratégie. Les entreprises ne souhaitant pas s’occuper de cette tâche qui peut paraître quelque peu complexe, peuvent la déléguer à des agences marketing. Nombreuses sur le marché, elles proposent une prise en charge complète du référencement et du lancement de la campagne.

Mensuelle e-commerce n°10 : Octobre 2021

Dernière ligne droite avant les fêtes de fin d’année. En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! S’abonner à la mensuelle On rembobine ⏳ ETUDE Les Français se rendent moins souvent en hypermarché au profit des EDMP  (enseignes à marque propre) et des achats en ligne.  L’année 2021 a été marquée par un bouleversement majeur en terme de comportement d’achat : les Français se rendent moins souvent en magasin, quitte à augmenter leur panier moyen. Le marché des PCG-FLS (produits de grande consommation, frais-libre service) a connu une concentration de 2% en 2021 par rapport à l’année 2020, une année qui avait déjà connu un boom de la concentration des achats dû aux périodes de confinement.  Une tendance qui touche principalement les hypermarchés, mais qui a tout de même entraîné une diminution générale étant donné leur importance dans le quotidien du consommateur. Néanmoins, selon Kantar Worldpanel, la répartition entre les enseignes reste similaire entre 2020 et 2021. Au contraire, les Français ont privilégié deux autres canaux : +5% de fréquence pour les EDMP (enseignes à marque propre) comme Liddle, Aldi, Biocoop, Picard ou Grand Frais +40% de transactions en ligne par rapport à 2019  Cette année, pas moins de 10,5 millions de ménages, personnes seules ou familles, ont commandé sur Internet en consacrant 22% de leur budget annuel à ce canal. Le gain de temps permis par les achats en ligne attire les Français, mais pas seulement. Dans l’objectif d’adopter un comportement d’achat plus raisonné, les achats en ligne permettent de limiter le risque d’achats impulsifs. Une tendance à l’augmentation pour le e-commerce qui semble durable et pérenne ! En effet, Kantar prévoit que la part des dépenses en ligne dépassera 9% en 2022, contre 8,8% en 2021 et 6,4% en 2019. Sources : Référenseigne Expert 2021, publié par Kantar Worldpanel Ecommercemag.fr Evaluer votre potentiel croissance ATTRIBUTION Google Ads annonce que les modèles d’attribution seront Data-Driven par défaut, c’est à dire basés sur les données et sur l’apprentissage automatique. Depuis l’annonce de la suppression des cookies tiers d’ici 2023, la méthode FloC (Federated Learning of Cohorts) présentée par Google apparaît comme une alternative proposant plus d’options d’attribution, même pour les petits comptes. Rappel sur la méthode FloC ou l’apprentissage fédéré par cohortes. Elle permet de cibler la publicité par centre d’intérêt. Le navigateur Chrome de Google génère des grands groupes aussi appelés « cohortes » d’utilisateurs anonymisés avec des historiques de navigation similaires qui traduisent des centres d’intérêt semblables. Les annonceurs peuvent ensuite sélectionner ces groupes pour cibler les publicités sans connaître les individus. Une solution d’attribution Data Driven qui a pour objectif de comprendre comment chacun de vos contenus publicitaires a eu impact sur vos conversions, tout en respectant la confidentialité des utilisateurs.  Zoom sur les avantages de la méthode FLoC data-driven ! Quels sont les avantages de migrer vers la méthode Data-Driven proposée par Google dans un nouveau paysage de la confidentialité ? Une méthode disponible pour les annonces Search, Shopping, Display et YouTube.  Un basculement au DDA par défaut mais qui n’exclut pas les autres types d’attribution : vous pouvez sélectionner manuellement les autres types d’actions de conversion Une solution pour découvrir quels mots clés, annonces, groupes d’annonces et campagnes vous permettent le mieux d’atteindre vos objectifs commerciaux pour ne déployer que les publicités les plus efficaces. Une méthode d’attribution auparavant disponible uniquement pour les comptes ayant enregistré suffisamment de conversions, mais qui est aujourd’hui disponible pour tous. L’apprentissage automatique utilisé par DDA semble donc être une alternative à la perte des données issues des refus de cookies. De notre côté, nous sommes encore en train de tester l’efficacité de ce modèle sur le compte de certains de nos clients avant de généraliser la méthode. Pour en savoir plus sur l’impact du DDA sur vos campagnes, rapprochez-vous d’un expert Google Ads ! Contacter un membre de la FoxTeam PAIEMENT EN LIGNE Le paradoxe du paiement en ligne : les attentes des français VS les tendances des e-commerçants 1 million de Français en plus se sont mis à acheter en ligne (2e trimestre 2021 vs 2e trimestre 2020), soit +2,3% (*). Néanmoins 9 sites e-commerce sur 10 proposent une expérience de paiement insatisfaisante (**).  Nous avons donc confronté plusieurs études sur le comportement des consommateurs face aux expériences proposées par les marques en ligne pour comprendre le paradoxe entre les attentes des cyberacheteurs et la réalité à laquelle ils sont confrontés. Quels sont les paradoxes du match du paiement en ligne : cyberacheteurs vs e-commerçants ? Le temps dédié au paiement en ligne, un critère précieux Pas moins de 63% des sites e-commerce ne proposent pas la saisie automatique de l’adresse et 45% commettent au moins trois erreurs liées au formatage des informations de paiement ou à l’affichage des messages d’erreur (**). Un temps perdu précieux pour le consommateur puisque 31% des cyberacheteurs ont renoncé à un achat à cause d’une expérience de paiement de plus de 3 minutes en moyenne. Une progression de la confiance du cyberacheteur  Progressivement les internautes ont tendance à diminuer leur méfiance envers la gestion de la fraude : 51% des cyberacheteurs acceptent d’enregistrer leur CB sur les plateformes (*). Or, 56% des sites e-commerce sont dans l’impossibilité de sauvegarder un moyen de paiement pour faciliter le prochain paiement. Une diversification des méthodes de paiement Même si 77% des internautes ont recours à la carte bleue, 40% utilisent des moyens de paiement alternatifs : PayPal, Google Pay, Apple pay, cartes cadeaux, virements, etc… Paradoxalement, 90% des sites e-commerce ne prennent pas en charge le portefeuille Apple Pay et 93% ne prennent pas en charge le portefeuille Google Pay(**). Le tunnel de paiement reste une étape cruciale dans votre acquisition client et votre fidélisation. Restez alerte à propos des tendances d’achat pour proposer la meilleure expérience qu’il soit à vos internautes. Sources :  (*) L’Observatoire des usages internet de Médiamétrie, en partenariat

Guide 2022 de la publicité digitale

SOMMAIRE Définition de la publicité digitale ? Top des outils de publicité digitale à découvrir et à connaître en 2022 Quels avantages de recourir à la publicité digitale ? Quelles sont les principales mesures de la publicité digitale ? De plus en plus d’entreprises déboursent des milliers d’euros en publicité digitale grâce à son retour sur investissement (ROI) important. Pour le premier semestre de 2021, selon l’observatoire publié par le SRI, le cabinet Oliver Wyman et l’UDECAM, elle représente une évolution de +42% comparé à l’année précédente, très loin devant les publicités traditionnelles radio ou télé. Pour assurer cohérence et performance aux campagnes mises en place par les entreprises qui souhaitent rester compétitives, il est essentiel d’utiliser les bons leviers publicitaires. Avant, il est important de comprendre ce qu’est vraiment la publicité digitale. Définition de la publicité digitale ? La publicité digitale peut être définie de façon simple comme la publicité réalisée sur Internet et ses différents terminaux, dont l’ordinateur, la tablette et le smartphone. Il lui a fallu moins d’une décennie pour devenir le levier de communication le plus important des annonceurs, et ce, au détriment de la radio et de la télévision.  Tout comme la publicité traditionnelle, elle permet de promouvoir les produits et services d’une entreprise pour lui faire gagner en notoriété et augmenter ses chiffres de ventes. Au lieu d’apparaître sur les panneaux d’affichage extérieur ou les magazines, les publicités seront visibles sur les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, etc.  Il faut également savoir que la publicité digitale s’accompagne de données en grande quantité. En d’autres termes, il est possible de suivre les performances des campagnes en temps réel, ce qui n’est pas le cas avec les panneaux d’affichage par exemple. Il est tout aussi possible d’obtenir des informations sur les caractéristiques démographiques, les habitudes et les intérêts des personnes qui visionnent des publicités et interagissent avec ces dernières.  Top des outils de publicité digitale à découvrir et à connaître en 2022 Il existe différents leviers de publicité digitale à utiliser en fonction des besoins des marques. En voici quelques-uns.  Le Search Près de 80 % des consommateurs recherchent des produits dont ils ont besoin sur internet en utilisant les moteurs de recherche comme Google, Bing et Yahoo. Lors de la création des annonces de recherche, il faut cibler les recherches ou les mots-clés spécifiques.  C’est ici qu’entre en jeu le SEA (search engine adversiting), également connu sous l’appellation référencement payant qui est le mode de publicité sur les moteurs de recherche. Il est à différencier du SEO (search engine optimisation) qui fait référence aux techniques d’amélioration du référencement organique ou naturel des sites.  Le SEA consiste à acheter des mots-clés dans les moteurs de recherche conformément au système d’enchères afin d’assurer une meilleure visibilité du site dans les résultats de recherche des internautes. La facturation se fait au clic ou PPC (paiement au clic). Si vous utilisez Google, rendez-vous sur l’interface « Google Ads » (ancien Google Adwords). Toujours selon les données de l’observatoire de l’ePub sur le premier semestre de 2021, le Search représente une augmentation de 43% des budgets des annonceurs français (1 537 millions d’euros). Il s’agit aussi de l’une des principales sources de financement de Google qui détient près de 88 % des parts du marché.  Le Display Cette catégorie de publicité digitale représente près de 18% des investissements publicitaires des annonceurs en France (selon l’observatoire de l’ePub sur le premier semestre de 2021). 90 % des utilisateurs ont également pris une décision d’achat après la vision d’une vidéo ou des images.  En utilisant la publicité display sur n’importe quel moteur de recherche, les publicités apparaissent sur les sites web affiliés. De plus en plus d’entreprises préfèrent Google, puisque les affichages publicitaires apparaissent sur YouTube, ce qui permet à l’annonceur de cibler les utilisateurs de ces deux plateformes.  Les réseaux sociaux  Les socials ads captent près de 77% du budget d’investissements des annonceurs en France (selon l’observatoire de l’ePub sur le premier semestre de 2021) et sa croissance s’élève à 58% (en partie grâce à la vidéo). L’essor des réseaux sociaux a été influencé ces dernières années par l’explosion du social commerce, c’est-à-dire le fait de donner la possibilité aux followers d’une marque d’acheter les produits directement sur sa page sociale.  Les entreprises peuvent utiliser différents réseaux sociaux pour faire leur publicité comme Facebook, Instagram, Twitter, Pinterest ou Linkedin. Si vous êtes décidé à employer les socials ads pour vos campagnes, vous pouvez créer vos annonces sous forme de texte, de vidéo ou d’image. Ces deux dernières options sont les plus indiquées pour promouvoir une marque. Il faut également savoir que les réseaux sociaux donnent la possibilité à une entreprise d’accéder aux options d’enchères supplémentaires. Si vous cherchez par exemple à attirer plus de followers sur Twitter, vous pouvez utiliser le coût par suivi ou CPF. Il est possible d’en faire de même sur LinkedIn en utilisant le coût par envoi ou CPS qui permet d’atteindre les candidats passifs.  Les influenceurs La montée en puissance des réseaux sociaux a aussi été confortée par l’influence marketing. À noter que l’influence constitue une entité à part lorsqu’elle est assimilée par une approche commerciale. Il suffit alors de s’associer aux influenceurs des réseaux et médias sociaux qui possèdent déjà une grande notoriété auprès de votre public cible. Ces professionnels se chargeront alors de recommander vos produits ou services auprès de leur communauté.  Ce qu’il savoir, c’est que les influenceurs proposent des tarifs différents par rapport aux autres canaux de publicité digitale. Il peut s’agir d’un tarif forfaitaire basé sur le nombre de leurs abonnées ou sur le niveau d’engagement sur les messages. Ils peuvent également facturer leur prestation en fonction des performances des messages parrainés.  Le retargeting Le retargeting, également connu sous l’appellation « reciblage publicitaire » est un outil de publicité digital qui consiste à montrer un message à un internaute lorsque celui-ci se positionne sur un stade avancé de l’entonnoir de conversion. Comment le savoir ? Simplement lorsqu’il consulte un page produit, se renseigne sur un comparateur ou lorsqu’il

Mensuelle e-commerce n°9 : Septembre 2021

Sommaire Dernière ligne droite avant les fêtes de fin d’année. En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! CHIFFRES E-COMMERCE La FEVAD publie le Bilan 2021 sur l’e-commerce en France  En 2020, le secteur e-commerce, produits et services confondus a atteint 112,2 milliards d’euros. Une croissance annuelle de 8,5%, soit 3 points de moins que prévu par les anticipations de la FEVAD en début d’année. Mais également 4,5 points de moins que les 4 dernières années ou le taux de croissance moyenne atteignait 13%.  Cette année, la croissance e-commerce est principalement dûe à l’augmentation des achats en ligne de produits : +32% de croissance pour l’achat de produits en ligne  -10% pour l’achat de services en ligne, un secteur très impacté par la pandémie  Quelles sont les différentes tendances e-commerce en BtoB ? 👉 E-commerce en BtoC Combien de Français achètent en ligne ? Aujourd’hui 41,6 millions de Français achètent sur internet, soit 81,4% de la population de l’hexagone. Et 98 % des cyberacheteurs sont satisfaits de leurs achats réalisés sur Internet au cours des 12 derniers mois. Combien les e-acheteurs ont-ils dépensé en 2020 ? En moyenne, les e-acheteurs ont effectué 3,7 transactions en ligne par mois avec un panier moyen de 61€. Quelles principales raisons ont poussé les consommateurs à acheter en ligne en 2020 ? Hormis les 33% d’acheteurs qui disent ne pas avoir eu le choix, 52% des acheteurs l’ont fait pour éviter les risques liés à la pandémie et 45% pour éviter les contraintes.  Quel rapport les cyberacheteurs ont-ils avec la livraison ? En 2020, 42% des e-acheteurs se sont abonnés à au moins un service de livraison et 20% ont utilisé au moins un service de livraison express au cours des trois derniers mois. Quelle place prend l’international dans la stratégie de croissance des e-commerçants ? En 2020, 59% des sites leaders vendaient à l’international depuis la France, et 28% d’entre eux sont présents dans plus de 10 Pays.  👉 E-commerce en BtoB Comment se porte le e-commerce aux professionnels en France ? Le commerce BtoB en ligne a connu une baisse de la croissance dûe à la pandémie et à l’arrêt d’activité de nombreux secteurs : +11% de croissance en 2020 contre +14% en 2019. Quelles sont les perspectives e-commerce pour le BtoB ? La pandémie semble avoir modifié les comportements de consommation de manière durable puisque 70% des acheteurs qui sont passés à l’e-commerce pendant la pandémie, affirment que cette évolution de consommation est désormais acquise. De quels secteurs sont issus ces nouveaux e-acheteurs ? Les agriculteurs représentent la part d’acheteurs la plus importante en BtoB avec presque 1 acheteur sur 2 qui consomme en ligne. Le secteur agricole est suivi de près par le commerce de gros et de détail (40%), et par le secteur de la santé (38%).  POST-PANDEMIE 1 Stripe & YouGov publient une étude sur l’impact de la pandémie sur les habitudes d’achat en France et en Europe L’Institut de sondage YouGov a publié une étude pour Stripe, le leader du paiement en ligne, dans le but d’étudier l’impact de la pandémie COVID-19 sur les habitudes d’achat dans plusieurs pays Européens. 👉 Les marketplaces sont incontournables pour les acheteurs Français ! L’étude révèle que plus de 1 français sur 2 (52%) déclare préférer effectuer ses achats sur un seul et même site en ligne plutôt que de fragmenter ses achats sur plusieurs sites ou commerces indépendants. En France, ce phénomène d’engouement pour les places de marché est encore plus marqué chez les millenials : 62% d’entre eux disent préférer ce mode d’achat. 👉 Pour quelles raisons les français s’orientent-ils vers les marketplaces ? Les français préfèrent le côté pratique (37%) et l’étendue de l’offre proposée (37%). En troisième position c’est la notion d’inspiration qui revient avec 33% des consommateurs français qui apprécient découvrir de nouveaux produits et de nouvelles marques grâce aux places de marché.  👉 Quelles perspectives pour les marketplaces ? Selon les prévisions de Gartner Predicts, 75% des achats en ligne passeront par les marketplaces en 2022. Un chiffre qui souligne l’importance pour les e-commerçants, d’être dès à présent, actif sur les places de marché.  POST-PANDEMIE 2 Kantar publie une étude et définit 4 profils de consommateurs français post-pandémie Kantar a réalisé une étude auprès de 25 000 shoppers en France, au Royaume Uni et en Espagne pour définir 4 types de shoppers selon leur exposition aux tensions économiques post-pandémie. Du plus préservé au plus vulnérable aux tensions économiques, voici un zoom sur ces 4 profils consommateurs. Les préservés (20% des Français) : Ce sont majoritairement des retraités qui ne connaissent pas de difficultés financières particulières au sein de leur foyer.  Une population plutôt optimiste pour l’avenir avec 59% des sondés qui n’envisagent pas une dégradation de leur situation financière post-pandémie. Pour 1 shopper sur 2, il est cependant important de privilégier les achats en commerces de proximité pour soutenir l’économie locale suite à la crise. Les pragmatiques (33% des Français) : Il s’agit de foyers aux revenus confortables dont les membres sont souvent plus jeunes que la moyenne nationale. Ces consommateurs sont plus à la recherche de produits bios et locaux que la moyenne. La crise sanitaire n’a pas réellement eu d’impact sur leur situation professionnelle et financière. Paradoxalement, 47% de ces shoppers ne semblent tout de même pas optimistes pour l’avenir. La pandémie n’a fait que renforcer leur intérêt pour la qualité de leur consommation : toujours plus de bios et de produits locaux Les combatifs (15% des Français) : Les combatifs représentent la population la plus jeune des quatre groupes. Ces foyers disposent d’un revenu en ligne avec la moyenne nationale mais subissent une contrainte budgétaire plus marquée que pour les 2 précédents groupes de shoppers.  Ils ressentent davantage les conséquences financières de la pandémie. Cependant, 69% d’entre eux restent optimistes pour l’avenir. Ils accordent leur confiance aux marques et distributeurs pour relancer l’économie du pays ainsi que leur

Augmentez vos ventes en dropshipping avec ces astuces de publicité Facebook

Table of Contents Dans le monde compétitif du dropshipping, les publicités Facebook jouent un rôle crucial pour attirer des clients et augmenter les ventes. Cependant, réussir une campagne publicitaire demande plus que simplement créer une annonce.  Pour que vos campagnes Facebook Ads soient entièrement bénéfiques, vous devrez tenir compte de plusieurs notions : emplacement des pubs, leur contenu, leur ciblage, etc. De plus, depuis peu, Facebook à mis en place le « Facebook Discovery Commerce” , un système qui permet aux commerçants d’avoir des outils d’analyse avancés.  Dans cet article, nous vous dévoilons des bonnes pratiques pour tirer le meilleur parti de vos publicités Facebook et maximiser vos ventes en dropshipping. Basez-vous sur les avis clients De nos jours, presque la majorité des marketeurs optent pour de la publicité Facebook. En effet, ce réseau social compte 46,4 millions d’utilisateurs actifs mensuels en France (source médiamétrie) et il est particulièrement efficace pour toucher une vaste audience. Il en va de même pour faire connaître votre boutique de dropshipping. Cette publicité en ligne est un moyen efficace pour booster aussi bien vos ventes que votre chiffre d’affaires.  Les internautes peuvent être réticents vis-à-vis des publicités. Ils ont plus tendance à faire confiance aux avis des autres utilisateurs de Facebook. C’est pour cette raison que la recommandation est l’un des moyens les plus efficaces pour faire la promotion de vos pubs sur Facebook Ads. Par conséquent, il convient d’utiliser des témoignages de clients satisfaits pour crédibiliser votre site de dropshipping. Grâce aux recommandations et aux avis clients, vous parviendrez à rassurer vos futurs acquéreurs. Les avis clients conviennent aussi pour contrer les objections de votre audience. Valorisez des images Pour attirer l’attention des clients, il n’y a rien de tel que d’apporter une part d’humanité à vos Facebook Ads. Pour cela, il est conseillé d’y ajouter des images, notamment des visuels avec des personnes. À côté des témoignages de vos clients, vous pourrez ajouter la photo et le prénom de l’acheteur en question. Cela améliore la confiance vis-à-vis des propos. Dans le cas où vous mettriez des photos de personnes dans vos publicités, préférez les portraits souriants. Les photos qui regardent directement l’internaute dans les yeux sont également à privilégier. En attirant le regard et en dégageant un esprit de satisfaction, votre publicité sera plus engageante. Nous contacter Optez pour des messages clairs Les Facebook Ads sont particulièrement efficaces lorsqu’ils évoquent un message clair. Lorsque les internautes tomberont sur votre publicité, il est fort probable que ce soit des acheteurs potentiels. Il est donc crucial d’apporter une réponse directe et claire à leurs différentes requêtes. Pour s’assurer de rédiger une publicité claire, pensez à utiliser des phrases courtes et des mots simples. Retenez que les internautes ne veulent pas perdre du temps et ils cherchent à facilement comprendre un message qui est lisible en quelques secondes. Pour faciliter la compréhension de vos pubs, n’hésitez pas également à utiliser des nombres. L’aspect d’urgence des Pub Facebook dropshipping L’urgence est un outil de persuasion non négligeable. C’est valable pour vos Facebook Ads étant donné que de nombreuses personnes ont tendance à procrastiner. Vous devrez indiquer à vos clients qu’ils doivent agir vite, sinon, ils ne risquent pas de faire quoi que ce soit. Ainsi, pour inciter les internautes à acheter vos produits, il est important que vos publicités intègrent une date butoir ou bien des quantités limitées. N’hésitez pas à indiquer que vous n’avez plus que 20 articles en stock. Pour ne pas rater une telle affaire, vos clients potentiels pourraient bien acheter vos produits plus rapidement que prévu. L’emplacement des Pub Facebook dropshipping Il existe de nombreuses possibilités pour organiser vos campagnes publicitaires sur Facebook. Quand vous créez des Facebook Ads, Facebook choisit les placements automatiques. Vous pourrez varier les emplacements de vos pubs en fonction de leur objectif. Il convient alors de définir l’objectif de votre publicité : faire connaître votre entreprise sur Internet, augmenter le nombre de visites sur votre site, promouvoir vos produits ou autres. Pour rappel, les publicités sur mobile enregistrent un taux de clics supérieur à celui des publicités sur ordinateur. Du fait d’une telle statistique, vous devrez vous assurer que votre site soit responsive (adapté pour le mobile). Concernant les marchands Shopify, tous les thèmes de boutiques en ligne Shopify sont adaptés pour le mobile. Ils garantissent également un passage à la caisse très fluide sur mobile. Sur ordinateur, les publicités peuvent apparaître dans la colonne de droite ou dans le fil d’actualités. Sur ce dernier, les pubs impliquent plus d’engagements que les pubs se trouvant à la colonne de droite. Pour créer des publicités de fil d’actualités, vous devrez avoir une page Facebook. Des publicités avec des objectifs bien définis​ Les pubs Facebook pour dropshipping peuvent servir pour différentes raisons : Améliorer la notoriété de votre boutique d’e-commerce : vous pourrez créer des pubs mettant en valeur votre marque et les produits que vous mettez en vente. Atteindre le maximum d’utilisateurs : pour cela, concevez des pubs qui attirent l’attention. N’hésitez pas à vous servir des buzz actuels pour capter la curiosité des utilisateurs. Augmenter les vues de vidéos : créez des vidéos intéressantes en lien avec votre activité. Pour conclure, vous devez donc communiquer un maximum sur vos atouts lors de de la mise en place de votre pub Facebook dropshipping comme par exemple, la mise en avant de votre catalogue produit, les avantages liés à la livraison, etc. Mais il faut également savoir s’entourer de professionnels à l’exemple de SteerFox qui va vous permettre d’identifier le potentiel des différents produits de votre catalogue afin de mettre en place par la suite un pilotage plus efficace. Pour aller plus loin : Quel budget pour une pub Facebook de dropshipping Nous contacter

Mensuelle e-commerce n°6 : Août 2021

Sommaire En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! S’abonner à la mensuelle  GOOGLE Google lance une solution de recherche dédiée aux sites e-commerce pour améliorer la découverte de produits et réduire l’abandon de la recherche Selon une étude réalisée par Harris Poll, chaque année, les plateformes e-commerce perdent environ 300 milliards de dollars à cause de l’abandon de recherche. D’où vient ce manque à gagner ? Dans la plupart des cas, un utilisateur quitte un site e-commerce alors qu’il est en train de chercher un produit car les outils de recherche ne sont pas optimisés. En effet, plus de 9 consommateurs sur 10 affirment avoir obtenu des résultats non pertinents alors qu’ils cherchaient un produit en ligne durant ces 6 derniers mois. Un manque à gagner qui a entraîné Google à trouver des solutions face à ce problème en proposant une solution de recherche dédiée aux sites e-commerce : Google Cloud Retail Search. Un outil personnalisable qui va permettre aux e-commerçants de mieux comprendre l’intention d’achat sur leur site et application en proposant une fonctionnalité de recherche de qualité Google sur leur propre catalogue produit. Une solution qui va donc créer une expérience de recherche beaucoup plus optimisée et donc plus agréable pour le consommateur.  En tant que bêta-testeur, la chaîne américaine Macy’s a déjà pu affirmer que Google Cloud Retail Search leur a permis de constater une amélioration des taux de clics et des revenus par visite. Enfin une possibilité “d’offrir l’expérience à laquelle nos clients s’attendent” a déclaré Jilberto Soto , directeur de la gestion des produits chez Macy’s. La solution pourrait même créer un cercle vertueux autour de la consommation en ligne puisque 53% des acheteurs qui trouvent les produits qu’ils recherchent se procurent également d’autres articles dans la même boutique en ligne. Une annonce qui colle parfaitement avec la méthode SteerFox. En tant que solution croissance e-commerce, il est dans notre ADN de privilégier l’approche catalogue produit pour exploiter le potentiel individuel de vente de chacune de vos références. PINTEREST Pinterest lance de nouveaux outils pour permettre aux e-commerçants de développer l’affiliation en tant que canal d’acquisition. Dans la course des plateformes sociales à devenir de vrais acteurs e-commerce à part entière, Pinterest développe de nouveaux outils dédiés au shopping en ligne. « Les utilisateurs viennent sur notre plateforme pour faire du shopping », affirme Pinterest. La société a annoncé la sortie en version bêta d’un outil permettant de faciliter la mise en place de partenariats rémunérés entre les e-commerçants et les influenceurs.  Il y a quelques mois, la plateforme sociale lançait les « Épingles Idées ». A l’image des stories, les épingles idées permettent aux créateurs de contenu d’interagir avec leur audience. Désormais, les « Épingles Idées » permettront aux créateurs de contenu, souvent des influençeurs, de percevoir des commissions de vente grâce aux liens d’affiliation. Le principe est simple. Les créateurs d’épingles idées pourront taguer des produits à choisir parmi les millions d’épingles produits déjà disponibles sur la plateforme. Quel avantage pour les e-commerçants ? Pinterest affirme que les utilisateurs de la plateforme seraient “89 % plus susceptibles de manifester leur intention d’acheter des produits tagués dans une épingle idée plutôt que dans une épingle produit standard”. La plateforme souhaite également proposer plus de transparence avec partenariats rémunérés et les placements de produits. Bientôt disponible en France ? A date, cette fonctionnalité n’est disponible que pour les comptes professionnels aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Elle devrait arriver en France et dans les autres pays dans les prochains mois. Le développement de fonctionnalités shopping, rend Pinterest de plus en plus attractif en tant que canal d’acquisition à part entière. En tant qu’expert SEA, déjà 40% de nos clients ont activé ce levier d’acquisition pour diversifier leur audience et booster leur croissance e-commerce. WALMART Walmart va vendre ses technologies d’e-commerce à d’autres petits et moyens e-commerçants. Grâce à un partenariat avec Adobe, Walmart développe sa marketplace et ouvre ses solutions e-commerce à d’autres retailers pour accélérer leur transformation numérique.  Quel avantage pour les e-commerçants ? Les retailers pourront vendre leurs produits directement sur la marketplace de Walmart, mais pas que. Ils pourront également intégrer les mêmes outils logistiques que la chaîne de supermarchés américaine, dans leur propre boutique en ligne. Des technologies d’enlèvement et de fulfillment en ligne et en magasin, disponibles dès le début de l’année prochaine.  Des milliers de petits et moyens retailers clients d’Adobe, pourront par exemple afficher les créneaux disponibles pour le retrait ou proposer à leurs employés des outils mobiles pour composer les commandes Un service sous forme d’abonnement qui pourrait permettre aux retailers d’atteindre de nouveaux clients en tirant parti des services de livraison rapides de Walmart.  Quel intérêt pour Walmart ? L’intérêt est double. Au-delà du fait de générer de nouveaux revenus issus de sa marketplace qui compte actuellement environ 100 000 vendeurs, c’est également l’opportunité de concurrencer Amazon sur son propre terrain. Amazon représente à date un levier d’acquisition SEA pour plus de 1 client sur 2 chez SteerFox. Au-delà du géant Américain, les marketplaces en général sont des leviers d’acquisition SEA avec beaucoup de potentiel. Quel avantage pour les e-commerçants d’activer des campagnes publicitaires sur une marketplace en plus de leur simple présence ? Être présent sur une marketplace permet de toucher des audiences complémentaires et de générer plus de revenus. Cependant n’oubliez pas que les acheteurs ne sont pas vos clients mais les clients de la marketplace. Au contraire, activer des campagnes publicitaires sur marketplace permet de se créer une base de clients directs et de rester propriétaire des data associées. SEA Les prévisions des investissements publicitaires par levier De nombreuses études d’organismes spécialisés ou de grands acteurs dans le secteur publicitaire nous ont permis d’extraire les prévisions des investissements par levier. Quels leviers ont été les plus populaires en 2021, et lesquels le seront en 2022 ? Zenith prévoit une progression des investissements publicitaires

Mensuelle e-commerce n°5 : Juillet 2021

Sommaire En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! SEA Bilan SEA du 1er semestre 2021. Les investissements publicitaires en ligne ont progressé de 42% au 1er semestre 2021. 👉 Quels leviers publicitaires ont été les plus populaires ? Les réseaux sociaux occupent la première place du podium avec une hausse de 58% des investissements publicitaires en ligne (3). Google reste le levier n°1 en termes de part de marché avec 85% sur la recherche sur desktop mais surtout près de 97% sur mobile (4). Les investissements publicitaires en ligne search et display ont tous deux progressé de 43% au premier semestre (3). Google, Facebook et Amazon captent à eux trois, 70% du marché de la publicité en ligne (8). Des data qui rappellent aux e-commerçants la nécessité d’ouvrir leur acquisition en ligne à Amazon Advertising d’une part, mais également de miser sur les leviers qui participent aux 30% restants d’autre part. Pinterest, Tik Tok, des leviers encore en pleine expansion qui vous permettent de cibler des audiences complémentaires et de générer des ventes en ligne incrémentales. 👉 Quelles sont les prévisions pour le reste de l’année ? Malgré les nouvelles directives en matière de protection des données : Consentement explicite au recueil des données personnelles depuis Mars 2021 Abandon par Google des « cookies » qui permettent aux annonceurs de faire de la publicité personnalisée à partir de 2023 L’observatoire de l’e-pub prévoit une croissance annuelle de 25% à 30% en 2021, pour atteindre 7,7 à 8 milliards d’euros, contre 6 milliards en 2019, avant la crise sanitaire. SOCIAL ADS Facebook et Pinterest annoncent de nouveaux outils et fonctionnalités dédiés au commerce en ligne. Le social shopping ne part pas en vacances cet été. Et pour cause, les plus grandes plateformes sociales : Facebook, Instagram, WhatsApp et Pinterest ont annoncé le lancement de nouvelles fonctionnalités shopping. Le e-commerce est devenu un axe de développement prioritaire pour ces plateformes. Quelles sont les nouvelles fonctionnalités qui vont permettre aux e-commerçants de développer leurs ventes en ligne ? 👉 Facebook : la stratégie, faire décoller la vente en ligne à travers ses différentes plateformes. Facebook développe des outils sur Marketplace, Messenger, Instagram et WhatsApp pour devenir une marketplace de taille dans le secteur du e-commerce. Les e-commerçants pourront créer un magasin en ligne à leur effigie pour proposer aux internautes leur catalogue produit sur WhatsApp. Une fonctionnalité qui se base sur le fonctionnement de Marketplace de Facebook, plateforme depuis laquelle les e-commerçants pouvaient déjà commercialiser leurs produits depuis 2018 à plus de 1 milliard de visiteurs mensuels dans le monde. Les produits des e-commerçants pourront être trouvés grâce à une fonctionnalité de “visual search”. Le principe est simple : l’outil scanne une photo téléchargée par l’utilisateur et propose les produits similaires vendus par les marchands sur Instagram. Les articles vendus sur Facebook et Instagram, chaussures, montres, maquillage… pourront être essayés virtuellement par l’utilisateur grâce à une solution qui combine intelligence artificielle et réalité augmentée. L’objectif est de rassurer, convaincre et inciter l’internaute à l’achat plus rapidement. L’ensemble de ces nouveaux outils permettront aux campagnes de publicité en ligne d’être plus efficaces pour les annonceurs, car basées sur des habitudes de consommation réelles et précises. En 2020, Facebook comptait 45,2 millions de visiteurs uniques par mois en France (+3%), 32,4 millions sur WhatsApp (+32%) et 31,8 millions sur Instagram (+12%) (9). 👉 Pinterest : la stratégie, proposer une expérience de shopping complète, depuis l’inspiration jusqu’à l’achat. En un an, le nombre d’utilisateurs Pinterest ayant navigué sur les espaces dédiés au shopping en ligne a augmenté de plus de 200% (9). La plateforme ne compte pas s’arrêter là puisqu’elle lance 7 nouvelles fonctionnalités shopping, qui vont plaire aux e-commerçants. Shopping Spotlights : le contenu de votre catalogue pourra être mis en avant grâce à des experts qui effectuent une sélection des produits tendance. A date, nous n’avons pas davantage d’informations concernant les paramètres de sélection. L’objectif est de faire découvrir de nouvelles marques et de nouveaux produits comme si l’utilisateur feuilletait un magazine. Acheter depuis la Recherche : les utilisateurs pourront acheter vos produits en stock directement depuis le nouvel onglet de recherche dédié à l’achat. Pour cibler les internautes les plus susceptibles d’être intéressés, Pinterest proposera des filtres en fonction du prix et des marques. Acheter votre Tableau : vos produits vendus sur Pinterest pourront être enregistrés dans une liste appelée Tableau qui rassemble les épingles enregistrées. Depuis ce tableau, l’utilisateur pourra directement acheter tous les éléments en un clic. Pinterest Lens : comme Facebook, Pinterest lance également sa fonctionnalité de visual search qui permet aux utilisateurs de photographier un produit et de trouver les produits similaires disponibles à acheter sur Pinterest. Try On : avec plus de 80 millions de personnes recherchant des articles de beauté chaque mois, Pinterest a dû voir plus loin (10). La plateforme lance Try On, un outil qui permet d’essayer les produits de maquillage virtuellement, grâce à la caméra du téléphone. Une opportunité pour les e-commerçants du secteur de la beauté de mettre en avant les produits de leur catalogue. Shopping en Close-up : vos articles en stock seront mis en avant sur Pinterest grâce à une étiquette indiquant que ce produit est disponible à l’achat. Pour rappel les épingles en close-up se distinguent des épingles classiques car elles sont enrichies en informations : commentaires, site web, détails produits, etc… Pages d’Information Produits : au-delà du prix et de la disponibilité de vos produits sur les épingles en close-up, des informations supplémentaires apparaîtront tels que les indications sur la livraison ou les avis clients. Shopping List : Si vous souhaitez baisser le prix de l’un de vos articles qu’un utilisateur a enregistré sur sa shopping list, ce dernier sera notifié de la promotion pour l’inciter à passer à l’acte d’achat. Et, les utilisateurs sont 7 fois plus susceptibles d’acheter les produits qu’ils ont enregistrés sur Pinterest (10). Autant de nouvelles fonctionnalités qui permettront aux e-commerçants de développer

Grande exposition du fabriqué en France : Castex invite SteerFox à l’Elysée

Ce week-end au Palais de l’Elysée, s’est tenue l’exposition du fabriqué en France. Un événement qui met à l’honneur pendant deux jours, les entreprises de l’hexagone s’inscrivant pleinement dans le Made in France. Au total, 126 professionnels issus de tous les départements et territoires de métropole et d’Outre-mer ont été sélectionnés pour présenter leur produit. Parmi eux, Béatrice Nalpas Cala (COO de Castex) a été accueillie à l’Elysée pour représenter la Manufacture Castex, fabricant français de couettes, édredons et oreillers depuis 1870, et client chez SteerFox depuis 2018. Pour l’occasion, Pierre gaudet, CEO de SteerFox, était l’invité de Béatrice. La manufacture Castex est une entreprise familiale Landaise, qui propose depuis 5 générations, des produits naturels haut de gamme en plumes et duvets neufs à prix direct usine. Des produits exclusivement en vente directe au particulier, sans intermédiaire. Depuis 150 ans, la maison dacquoise allie tradition et modernité en proposant un savoir-faire d’excellence au service de votre sommeil. Aujourd’hui Castex allie tradition et modernité avec une distribution par Internet utilisant les techniques les plus pointues. En tant qu’experts SEA, nous sommes fiers d’accompagner plus de 150 entreprises françaises comme Castex, dans le pilotage de leurs campagnes SEA et leur croissance e-commerce     Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

Mensuelle e-commerce n°4 : Juin 2021

Sommaire En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur ! INSTAGRAM Instagram lance la section Drops pour permettre aux utilisateurs de découvrir de nouveaux produits en avant-première. Le “Drop” est une technique souvent utilisée par les e-commerçants pour promouvoir en avant-première de nouveaux produits de leur catalogue. Instagram s’empare du phénomène. Les “drops”  vont permettre aux e-commerçants de créer de l’engouement autour de leurs nouveaux produits, et ce, avant le lancement. L’idée est de proposer des stocks très limités sur une courte période avec un teasing plusieurs semaines avant la sortie officielle de ces produits. Un outil qui permet à la fois de renforcer l’idée de communauté avec notamment la notion d’exclusivité produit, et de l’autre l’idée d’inspiration. Un des combos favoris des internautes qui sont de plus en plus friands de nouveautés en exclusivité. 👉 Comment la section Drops Instagram pourra être utilisée par les internautes ? Ce nouvel onglet sera disponible au-dessus de l’onglet “Boutique” d’Instagram pour permettre aux utilisateurs de découvrir les derniers lancements produits et collection, ainsi que ceux à venir prochainement.Les internautes pourront également créer des rappels pour recevoir une notification en cas de lancement de produits qui les intéressent.  👉Comment les e-commerçants pourront-ils publier les Drops ? Depuis votre gestionnaire des ventes, vous pourrez accéder à la fonction lancement produit depuis laquelle pour pourrez directement ajouter vos nouveaux produits. Pour promouvoir ces drops, vous pourrez alors les diffuser à travers des stories ou des reals. Avec 21 millions d’utilisateurs en France, Instagram offre l’opportunité d’ouvrir votre acquisition payante pour générer du revenu supplémentaire.  SEO Google lance sa mise à jour Page Experience qui intègre les critères liés à l’expérience utilisateur pour le référencement naturel de votre site web. Google a débuté le déploiement de sa mise à jour Page Experience ce mois-ci. L’objectif ? Enrichir les algorithmes de référencement naturel en intégrant des critères liés à l’expérience utilisateur. En d’autres termes, les pages les plus « conviviales » seront privilégiées par le système. La mise à jour devrait être complétée à la fin du mois d’Août, date à partir de laquelle les changements seront plus significatifs.  👉 En quoi consiste la mise à jour Google Page Experience ? Les critères déjà utilisés par Google : L’ergonomie mobile : les pages web doivent être adaptées aux mobiles La navigation sécurisée : aucun contenu malveillant ne doit apparaître Le HTTPS qui sécurise la connexion Le caractère non-intrusif des publicités : le contenu des pages de votre site doit être accessible facilement Les nouveaux critères pris en compte par la mise à jour : Le changement majeur de la mise à jour réside dans la prise en compte des Core Web Vitals, 3 signaux qui comptabilisent le temps de chargement.  👉 Comment les Core Vital Web évaluent le temps de chargement des pages ? Indicateur 1 : Le Largest Contentful Paint (LCP) : Cet indicateur mesure le temps de chargement de vos pages web. Pour un score optimal, le plus grand élément visible d’une page web doit être affiché en moins de 2,5 secondes. Indicateur 2 : Le First Input Delay (FID) : Cet indicateur mesure l’interactivité et ne doit pas dépasser un FID de 100 millisecondes Le Cumulative Layout Shift (CLS) : Cet indicateur mesure la stabilité visuelle de l’interface utilisateur. Le score doit être inférieur à 0,1. Vous pouvez mesurer ces 3 éléments grâce à votre Search Console. Dans un premier temps, la mise à Jour Google Page Experience sera uniquement appliquée sur mobile. Les sites proposant la meilleure expérience utilisateur sur mobile selon les critères cités ci-dessus seront favorisés.  PRIME DAYS Les Prime Days ont été l’évènement du mois en e-commerce : Quelles ont été les tendances de cette session 2021 ? Les Primes Days d’Amazon du 22 et 23 Juin, c’est l’occasion pour les 200 millions de membres à l’échelle mondiale de profiter de réductions pendant deux jours sur des milliers de produits. Un phénomène encore à demi-teinte puisque 43% des shoppers prévoient de participer à cet événement (1). 👉 Une offre diversifiée qui réjouit les internautes ! Cette année, Amazon ne compte pas moins de 300 000 PME dont 11 000 PME françaises qui proposent plus d’un million d’offres sur la marketplace. L’occasion de consommer auprès des marchands français. Une tendance qu’Amazon a décidé de mettre en avant en proposant un espace nommé « Boutique des entreprises françaises » qui référence  toutes les offres des entreprises de l’Hexagone 15 jours avant les Prime Days. L’an dernier, les internautes français ont réalisé plus de 18 millions d’euros d’économies sur l’ensemble de leurs achats. 👉 Une tendance spectaculaire pour le live shopping ! Le live shopping a explosé durant les Prime Days, au profit des marques comme Bose, JBL, Veet, Oral B, etc… qui ont mis en place des sessions de live shopping pour leurs internautes. 👉 Des budgets publicitaires adaptés à l’évènement ! Quel budget SEA consacré à Amazon Ads durant les Prime Days ? Notez qu’en 2020 les ventes issues des campagnes publicitaires Amazon ont été multipliées par 5 pour une hausse du CPC de 20%(2).A date les résultats de l’édition 2021 ne sont pas encore disponibles. Le levier Amazon Ads devient encore plus rentable durant l’évènement. Le ROAS double par rapport aux tendances habituelles, en passant de 5 en moyenne à plus de 10 (2). BREXIT 6 mois après le Brexit, le e-commerce a déjà subi un impact négatif non négligeable entre le Royaume-Uni et l’UE. Comment les marchands s’adaptent-ils ? Le départ du Royaume-Uni de l’Union Européenne le 1er janvier 2021 a engendré des modifications structurelles dans le secteur du e-commerce à l’échelle mondiale. D’après l’Office national des statistiques britanniques, l’activité du commerce extérieur au Royaume-Uni a été impactée par le Brexit de façon immédiate, dès le mois de janvier. Le Royaume-Uni est le premier marché e-commerce en Europe et le troisième dans le monde derrière les Etats-Unis et la Chine