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Comment optimiser les publicités d’un e-commerce ?

Le SEO est une excellente stratégie pour un e-commerce. Elle prend plus de temps c’est vrai, mais le référencement naturel SEO améliore la visibilité d’un e-commerce sur le plus long terme. Cette stratégie prend du temps : il faut donc y penser dès le début de la mise en ligne du site de vente en ligne.   Le SEA est une technique de référencement payant qui permet une apparition immédiate tout en haut des premières pages de Google, sur certaines requêtes entrées par les utilisateurs. Le référencement SEA apporte une visibilité directe et fait grimper votre taux de trafic. Mais cette stratégie est sous-tendue à de nombreuses conditions indispensables pour réussir.   Mettre en place de réelles campagnes publicitaires rentables et efficaces n’est pas à la portée de tout le monde. Il faut trouver les mots-clés et les campagnes performantes, et ne misez que sur ce qui est source de ROI pour vous. Ceci demande donc un travail quotidien pour ajuster les campagnes de pub. Comment gérer les publicités d’un catalogue très chargé ?   Si vous vendez énormément de produits ou que vos offres sont très variées, vous ne pouvez pas perdre du temps à créer des campagnes pour chacune d’elles.   Malgré tout, vous souhaitez faire apparaître vos produits en haut des résultats de recherche de façon à ce que la plupart d’entre eux apparaissent le plus possible en première page. De plus vous aimeriez voir vos produits apparaître dans Google Shopping ou encore dans les espaces publicitaires de Facebook. C’est possible tout à fait possible en automatisant vos publicités.   Des campagnes de pub automatisées   Aujourd’hui, apparaître dans la SERP de Google ne suffit plus : il faut aussi que vous soyez visible sur Google Shopping ou encore Facebook. L’idée est d’attirer un maximum de prospects et pour ce faire, il faut que vous puissiez définir quels produits sont destinés à quelles cibles afin de savoir sur quels supports communiquer. Le ciblage est d’ailleurs une phase très importante des campagnes publicitaires.   Aujourd’hui grâce à l’outil SteerFox, vous pouvez lancer des campagnes publicitaires sur plusieurs de vos produits en même temps, qui seront diffusées sur différentes sources.   Ce faisant, vous vous doutez bien que les utilisateurs vont forcément davantage cliquer sur l’un ou l’autre de ces produits, selon leurs envies et leurs besoins. Eh bien, notre outil stoppe les mots-clés les moins performants et automatise les plus rentables. Ainsi, de façon automatique, vous enchérissez uniquement sur les campagnes et les mots-clés rentables pour vous.   L’idée est simple : donner l’envie à votre coeur de cible de cliquer sur vos produits en lui proposant des articles qui leur correspondent particulièrement bien, sans que vous ne payiez pour des mots-clés qui ne marchent pas, mais uniquement pour ceux qui sont statistiquement efficaces.   Des publicités automatisées : comment ça fonctionne ?   Tous les jours, les algorithmes SteerFox réactualisent leurs données concernant les mots-clés les plus cliqués. Ceci afin de présenter aux internautes les produits les plus appréciés et qui correspondent à la majorité des recherches effectuées par catégorie.   Ainsi, les annonces, mots-clés et campagnes publicitaires sont choisies et publiées selon les meilleurs taux de rendement, afin que le retour sur investissement soit le plus élevé possible et qu’il puisse permettre de gagner en temps et en argent.   Cette technique novatrice fait gagner beaucoup de temps : plus besoin de comparer manuellement les différents taux pour déterminer quels mots-clés ou quelles campagnes sont les plus rentables. Le robot le fait à leur place et en plus, il adapte tout seul les différentes offres en fonction des résultats obtenus.   Pourquoi automatiser les publicités d’un e-commerce ?   Pour la rentabilité. Optimiser les campagnes publicitaires manuellement prend beaucoup de temps. C’est une succession d’actions à répéter plusieurs fois par jour pour être rentable. En automatisant les campagnes, on récolte de nombreuses données qui permettent de réajuster les campagnes en temps réel. La gestion quotidienne des pubs est facilité et votre e-commerce vous rapporte de l’argent. L’automatisation permet d’automatiser les coûts de campagnes publicitaires. Elles sont plus efficaces et plus rentables.     La récolte de données   L’algorithme SteerFox récolte des données data, les analyse et ajuste certaines variables avec précision. Pour vous donner un ordre d’idées, voici les valeurs prises en compte selon le type de campagne lancée :   Pour un catalogue de 100K items : Campagne sur Google Shopping : 100K produits x 90 variables = 9 M de data points/jour. Campane Search Terms, c’est-à-dire à la fois Google Shopping et texte, comptez 500 000 search terms x 70 variables = 35 M de data points/jour. Campagnes textuelles, si vous partez sur une base de 400 textes par exemple, (400 + 1500 adgroupes) x 70 variables x 75 segments = 10 M de data points/jour. Annonces publicitaires basiques : 5000 annonces x 50 variables = 250 K data/jour.   Ainsi, quel que soit votre choix, vous pouvez à la fois varier vos campagnes (distributeurs, réseaux sociaux, éditoriales…), vous assurer des effets qu’elles produisent chez les cyber consommateurs (rendement et taux de clic), et gagner en rentabilité (temps, argent, efficacité, objectivité des algorithmes). Ce sont ces datas qui permettent de repérer les campagnes et mots-clés performantes.   Vous maximisez les possibilités de votre budget publicitaire. Le potentiel de votre e-commerce est décuplé.   Evaluer mon potentiel croissance Google Ads

4 avantages majeurs du Big Data dans le marketing 

Aujourd’hui, le Big Data est devenu indispensable aux entreprises. Ces dernières doivent faire face à de plus en plus de données à collecter, analyser et comprendre. Les solutions du Big Data permettent de le faire sereinement et efficacement. Outil à la fois stratégique et technologique, il est au coeur de toutes les stratégies marketing digital. Dans cet article, nous allons vous présenter les 4 avantages majeurs du Big Data Marketing. Qu’est-ce que le Big Data Marketing ? Commençons par un petit rappel. Big Data est un ensemble de données si volumineux qu’il met au défi les capacités humaines et les outils informatiques classiques en termes d’analyse de données (data). Tellement que les êtres humains se trouvent totalement dépassés. Dans l’industrie 4.0, le Big Data joue un rôle essentiel dans le traitement du volume d’informations composant le système d’information d’une industrie. Big Data a été créé car toutes les technologies de stockage de données classiques sont aujourd’hui dépassées par ces volumes immenses. Dans le marketing, le solutions du Big Data permettent de comprendre toutes ces données, les analyser et ainsi améliorer la productivité et la gestion structurelle des entreprises. Il existe 3 grands axes du Big Data marketing : L’axe client : il permet d’aider les professionnels du marketing digital à comprendre leur audience et mieux cibler leurs clients. L’axe financier : il permet d’évaluer et mesurer ses performances afin d’être plus efficace dans ses actions financières. Il s’agit ici d’évaluer les coûts, les ventes et marges, entre autres. L’axe opérationnel : il relève majoritairement de la relation-clients et de la logistique. L’analyse de ces données peut conduire à une amélioration des performances et à une réduction globale des coûts. Maintenant que vous savez en quoi consiste le Big Data et plus spécifiquement le Big Data Marketing, il est temps de vous expliquer quels sont ses 4 grands avantages dans le marketing et pourquoi il est devenu indispensable aux marketeurs. Les solutions du Big Data permettent donc de : Mieux cibler ses clients En effet, non seulement le Big Data permet de mieux cibler ses clients mais il permet surtout de mieux les comprendre. Aujourd’hui, vous avez la possibilité d’attirer l’attention des clients les plus réceptifs à vos offres en vous focalisant sur un cercle précis de clients potentiels. Le Big Data vous permet de connaître le comportement d’achat des clients, ainsi que les recherches qu’ils effectuent. Vous avez la possibilité de recueillir énormément d’informations sur la façon dont ils surfent sur le net et leurs activités sur les réseaux sociaux, entre autres. Ces dernières vous permettront de savoir qui cibler et comment le faire. En outre, cela évite également l’agacement de clients mal ciblés voyant leur boîte mail remplie d’e-mails non-pertinents. Fidéliser sa clientèle Le Big Data permet également de récupérer assez de données sur les clients et consommateurs pour mettre en place des campagnes de fidélisation plus adaptées et personnalisées. En d’autres termes, il permet à l’entreprise de se rapprocher du client dans l’objectif de le garder sur le long-terme. Les donnés collectées permettent d’anticiper les besoins et attentes d’un client à partir de ses achats et de leur fréquence. Opter pour le marketing prédictif Arriver à fidéliser ses clients en analysant leurs comportements vous donne une vue sur les comportements actuels mais également une vue sur les changements de tendances à venir. Il suffit d’observer fréquemment et vous pourrez avoir une idée de ce que seront les comportement de vos clients dans le futur. C’est l’idée du marketing prédictif : anticiper les besoins futurs des clients acquis et potentiels afin de leur faire une offre adaptée avant même qu’ils ne s’apercoivent de ce besoin. Le Big Data vous transforme en Nostradamus du marketing : en analysant les données collectées, vous voyez le futur et optimiser votre temps en le préparant comme il se doit. C’est l’essence même de la plateforme SteerFox qui, grâce à ses algorithmes prédictifs, permet à ses clients de savoir quel produit vendre, sur quel levier SEA, et à quel moment. Une solution qui permet à une agence d’achat de trafic comme SteerFox d’obtenir des résultats ultra-performants Evaluer mon potentiel croissance SEA Réduire les coûts Nous voici à présent en plein dans l’axe financier ! En plus de l’amélioration du service client et du ciblage précis et optimisé de clients,  les mégadonnées aident les entreprises à réduire leurs coûts de fonctionnement grâce à l’identification des éléments qui fonctionnent efficacement et à l’inverse, de ceux qui ne sont pas ou peu exploités au coeur de leur statégie marketing. Campagnes marketing inefficaces ? Résultats en demi-teinte ? Les outils du Big Data permettront de réduire le superflu et l’inefficacité en automatisant l’analyse des résultats. Ainsi, les dépenses inutiles seront rapidement détectées et diminuées. Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

L’impact énergétique du Big Data

Désormais omniprésent, le big data révolutionne des pans entiers de l’économie mondiale. Derrière ce phénomène idoine se cache une infrastructure pharaonique particulièrement gourmande en énergie. Pour adresser cette face cachée de leurs activités, les entreprises spécialisées dans le stockage, l’analyse et la présentation d’une masse indicible informations déploient des solutions plus sobres. Le big data : une croissance énergivore Avec la généralisation des appareils mobiles et l’avènement de l’Internet des Objets, le volume de données stockées dans le monde connaît une croissance vertigineuse de 36 % par an. Pour IDC, l’avènement du big data va faire exploser les besoins de stockage de données pour les voir atteindre 175 Zo en 2025 contre environ 47 Zo actuellement. Cette demande frénétique se traduit par une multiplication, partout dans le Monde, des data centers. Ces infrastructures indispensables au big data sont connues pour leur importante consommation électrique. Les milliers de serveurs installés dans chaque centre de traitement des données sont particulièrement énergivores, aussi bien pour leur alimentation que pour leur refroidissement. La consommation électrique d’un très grand data center peut ainsi avoisiner les 100 MW. Au niveau planétaire, cette gourmandise se traduit par des chiffres stratosphériques. Les centres informatiques engloutissent 3 % de la production mondiale d’électricité et comptent pour 17 % de la consommation d’énergie totale du numérique. Le Green IT : le concept pour améliorer l’efficacité énergétique Né aux Etats-Unis, le concept du Green IT a essaimé auprès des grandes entreprises technologiques qui se sont rassemblées autour d’une initiative commune “The Green Grid”. Cette organisation vise à promouvoir les bonnes pratiques développées par l’industrie pour réduire les besoins énergétiques des data centers. Elle a permis au secteur de stabiliser sous les 2 % sa part de la consommation totale d’électricité outre-Atlantique tout en faisant face à l’augmentation de la capacité exigée par le big data. Pour atteindre ces résultats, l’industrie a repensé l’architecture de leurs salles de données, la conception des serveurs, la supply chain des composants et les codes des logiciels afin d’optimiser chaque élément de son infrastructure. Grâce au concept d’EcoSalles, le français OVH est parvenu à réduire de 2 à 1,20 le PUE – un indice d’efficacité énergétique – de ses installations. Cette éco-conception a toutefois un coût. Si l’investissement est rentable dans les économies matures en raison d’un prix de l’électricité élevé, ce n’est pas toujours le cas dans les pays qui maintiennent artificiellement bas leurs tarifs. Les solutions pour réduire la consommation électrique du big data Pour faire face au challenge énergétique qui l’attend, le secteur travaille sur différentes solutions pour réduire sa facture électrique. En plus de la généralisation de bâtiments éco-responsables et de l’éco-conception des équipements, d’autres pistes semblent prometteuses. Optimiser la gestion de l’hyperdisponibilité Les infrastructures sont construites pour être capables de répondre à tout moment aux pics d’utilisation des données. Pour rester “hyperdisponibles”, les différents équipements restent alimentés par le réseau électrique même lorsqu’ils sont inactifs. À l’aide de l’intelligence artificielle et des données d’utilisation des centres informatiques, il est envisageable d’optimiser la consommation électrique du big data en éteignant une partie des équipements lors des périodes de faibles consommation sans pour autant affecter trop négativement le temps de latence des serveurs. Intégrer les infrastructures big data à l’éco-conception urbaine Il existe de part le monde de nombreuses initiatives d’intégration vertueuse des centres de données dans leur environnement immédiat. La récupération de la chaleur représente un domaine prometteur. Pour tirer pleinement parti du potentiel de mutualisation des ressources urbaines et éviter une rétro-ingénierie souvent impossible, il est toutefois indispensable d’intégrer, dès leur élaboration, les projets de data centers à la planification urbaine. Le programme « data center parks » développé par la ville de Stockholm fait figure d’exemple urbanistique à suivre. En échange de la mise à disposition de la chaleur fatale produite par leur infrastructure, les entreprises participantes se voient proposer un refroidissement gratuit. Il en résulte une substantielle réduction de la facture d’électricité et des impacts environnementaux positifs. Réduire la redondance du stockage multiple des données Pour préserver leur intégrité sur le cloud, les même données sont stockées de multiples fois sur différents sites partout sur Terre. Si la démultiplication des copies de sauvegarde est indispensable, leur nombre peut être considéré comme parfois excessive chez certains acteurs majeurs du marché du big data. Une réduction raisonnée du stockage multiple est susceptible de réduire de manière spectaculaire la consommation électrique de certains acteurs tout en boostant leur capacité de développement. Si le big data est parfois pointé du doigt pour sa consommation d’électricité, il est toutefois indispensable de relativiser sa part dans l’augmentation globale des besoins de stockage des données. Le secteur contribue actuellement pour 40 % de la croissance quantitative des données numériques. Le reste de la croissance peut essentiellement être attribuée à la production de données, notamment de vidéos, par les utilisateurs de smartphones. Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

Storytelling : redonnez vie à votre stratégie marketing

Toute bonne stratégie marketing doit comporter des actions qui, lorsqu’elles sont coordonnées, permettent d’atteindre des objectifs déterminés d’un point de vue commercial et marketing. Conçu comme l’art de raconter des histoires, le storytelling est un allié efficace dans la construction d’une marque et le développement de sa réputation. Atteindre son objectif marketing en racontant des histoires : voici une stratégie de communication unique tant sur la forme que sur le fond.   En quoi le storytelling permet-il de redonner corps à votre stratégie marketing ? Réponse dans cet article.   Un récit collectif pour exprimer la raison d’être de la marque   Le storytelling est une stratégie de communication qui emprunte certaines caractéristiques à différents niveaux. Au cœur de la démarche, on trouve la narration, cet art de raconter une histoire simple à retenir et à raconter qui revêt un attrait pour le lecteur.   L’histoire en question doit refléter la raison d’être de la marque et ses missions sous la forme d’une aventure ou d’épisodes ponctués de rebondissements et de phases de suspenses.La marque se met alors en récit et intègre ses consommateurs à l’aventure, en les faisant passer de l’autre côté de la barrière. Ils ne sont plus considérés comme de simples acheteurs potentiels mais bien comme les acteurs d’un récit unique à forte valeur ajoutée. De cette manière, la stratégie de communication rompt avec les limites classiques pour devenir ludique.     Le storytelling : un art créateur de valeur pour l’entreprise   Le storytelling est de plus en plus utilisé dans le but de promouvoir un produit ou un service tout en contribuant à faire connaître une marque ou à en assurer la pérennité. Les entreprises utilisent cette technique de différentes manières : soit par le biais de jeux vidéos, d’écrits, de films ou encore de bandes dessinées. Tous les moyens sont bons pour créer un univers et orienter sa communication de marque autour d’une histoire simple et efficace.Le storytelling se veut ludique et facilement audible par les consommateurs.   La marque souhaite aussi créer un lien unique avec le lecteur : le storytelling est en effet créateur de lien émotionnel entre la marque et le lecteur. Ce dernier lit une histoire, prend plaisir à partager le suspense et s’imagine parfois dans la peau du protagoniste principal. Le message véhiculé par le récit du storytelling transparaît à toutes les étapes de la lecture, avec une fin engageante qui renforce la confiance qu’a le consommateur envers la marque en question.   Les raisons de recourir au storytelling pour votre stratégie marketing   Il est prouvé que le cerveau humain perçoit mieux l’information lorsqu’elle se présente sous une forme narrative. Les sentiments et les émotions ressentis par le lecteur font alors écho à un vécu, à un récit mettant en scène des personnages liés à des événements de la vie humaine. Plus qu’une parole, c’est le ressenti qui prédomine dans le storytelling.   Par votre récit, vous visez en plein cœur l’affect des consommateurs, ce qui permet de les fidéliser. Ces derniers seront forcément plus attachés à la marque si elle sait s’adresser à eux. Bien loin de l’idée de marketing sauvage et intrusif qui propose un service ou un produit de manière frontale, l’art du storytelling est justement de reposer sur l’imagination, la capacité à penser, à s’imaginer un récit dans la vie réelle. Cela rend le message véhiculé bien plus percutant pour le lecteur.   Dans la stratégie de communication et de marketing, l’approche narrative a donc un rôle majeur à jouer puisqu’elle active la pensée et se lie à une construction de la narration captivante et unique pour chaque consommateur. Le discours de la marque s’humanise davantage et ses valeurs prennent corps.   Conseils pour réussir votre storytelling   Vous souhaitez entreprendre cette merveilleuse aventure de la narration créatrice de valeur ajoutée pour votre entreprise ? Votre marque s’en portera mieux, c’est une certitude. Encore faut-il appliquer quelques conseils et astuces pour se démarquer et réussir son storytelling. En voici quelques-uns :   définissez au préalable le décor qui irriguera votre récit. Quel sera le lieu et l’endroit où l’histoire se déroulera ? décrivez les personnages faisant partie de votre histoire en mettant l’accent sur le contexte en particulier. Le lecteur doit avoir une image précise et fidèle du sens de la narration, comme dans n’importe quelle œuvre du même genre faites preuve de créativité et n’ayez pas peur de faire fonctionner votre sens de l’imagination ! L’histoire que vous racontez doit être porteuse d’émotions et capter l’attention de votre public cible. En racontant cette histoire, vous devez donc convaincre le consommateur type d’adhérer à vos valeurs et de faire confiance à votre marque ayez une parfaite connaissance du public auquel vous vous adressez. Quel est le type d’histoire qui intéresserait votre auditoire ? Quelles sont les questions qu’il se pose ? Où se situe-t-il et de quoi a-t-il réellement besoin ? Autant de questions auxquelles il est important de savoir répondre afin de trouver le langage approprié pour raconter votre histoire. L’objectif est bien évidemment d’atteindre votre public cible et de viser directement l’émotion. Vous devez donc être complice avec lui et le connaître à la perfection, sans jamais vous montrer trop formel l’histoire racontée doit être en accord totale avec votre identité de marque. Le public percevra votre sincérité et sera alors plus enclin à s’approprier votre discours.   Storytelling appliqué à la stratégie marketing : importance de fidéliser votre auditoire   D’un point de vue marketing, rappelons que l’objectif n’est pas la vente d’un service ou d’un produit en tant que telle mais bien le développement de la notoriété de votre marque. En plus de l’attention du public cible, ce qui compte est son affection. En jouant sur les deux tableaux (attention et affection) vous actionnez un double levier qui permet de convertir votre auditoire en futurs clients ou bien de transformer des consommateurs en clients fidèles.   Au-delà des produits et services que vous proposez, le public sera intéressé par la marque en elle-même et le message qu’elle véhicule. Si vous défendez des valeurs importantes, comme les droits des femmes

PrestaShop : informations, avis et conseils sur ce CMS français

Table of Contents Historique du CMS PrestaShop PrestaShop est un CMS (community management system) 100 % conçu pour la création de boutique en ligne. Cette solution e-commerce est née à la fin des années 90 dans les locaux de l’EPITECH l’école pour l’informatique et les nouvelles technologies; un établissement français. On peut noter que depuis sa création PrestaShop a connu une évolution permanente afin de répondre aux besoins des e-commerçants, le résultat fonctionne, car aujourd’hui c’est le CMS e-commerce le plus utilisé en France ce qui n’est cependant pas le cas à l’échelle mondiale, selon BuiltWith. PrestaShop en France : ~48 % de parts de marché. PrestaShop Monde : ~5 % de parts de marché.   Voyons maintenant les huits points qui font de Prestashop une solution e-commerce remarquable pour vendre en ligne. PrestaShop c’est gratuit et Open Source On peut télécharger gratuitement ce logiciel, vous devez cependant acquérir un hébergement web ainsi qu’un nom de domaine pour créer votre boutique en ligne. Prestashop est Open Source (libre de droit) ce qui signifie que vous avez la possibilité de modifier son code source comme bon vous semble. Attention cela s’adresse à des experts en développement qui maîtrisent les langages PHP, CSS, HTML et d’autres pour les thèmes notamment. Comment installer PrestaShop ? Le principe est le même que WordPress, il faut noter que ce script est pré-installé chez certains hébergeurs ce qui facilite la tâche aux e-commerçants débutants. L’installation peut être réalisée en locale ou directement sur internet. Les pré-requis tout comme la procédure d’installation détaillée est indiquée sur le site PrestaShop.com, suivez bien les recommandations concernant votre version Apache, PHP et les extensions nécessaires. Une précision sur votre future boutique en ligne et cela concerne tous les CMS e-commerce : N’oubliez pas votre certificat SSL. Je vous recommande cependant de vous faire aider par un expert prestashop. Les thèmes Vous aurez tout le loisir de choisir votre thème PrestaShop afin de lui créer une identité visuelle plus ou moins personnalisée. Il est recommandé de télécharger un thème premium afin de profiter de certaines fonctions techniques et visuelles et de vous faciliter les choses aussi. Un thème doit avant tout répondre à quelques points importants : Il doit être responsive (ce qui est le cas la plupart du temps aujourd’hui, veillez donc à ne pas télécharger un thème trop vieuxqui n’aurait pas été mis à jour). Avant de choisir un thème prenez le temps de visionner la démo et renseignez-vous sur les forums afin de lister les avis. Questionnez le développeur ainsi vous pourrez vous rassurer au cas où un problème survenait. Préférez acheter un thème qui n’a pas été créé pour des versions antérieures à votre PrestaShop. Si vous avez la possibilité de faire un test gratuit c’est mieux, ainsi vous pourrez voir les éventuels dysfonctionnements. Les modules SEO PrestaShop Nous n’allons pas faire la liste des modules nécessaires, chaque activité aura ses propres besoins. Toutefois, le CMS Prestashop n’est pas forcément optimisé pour le référencement et note de sérieux problèmes qui pourront être corrigés grâces à des modules SEO qui vont vous garantir d’éradiquer les points suivants : Contenu dupliqué. Choix de l’indexation des pages de votre choix. Un module canonical. Un module de gestion des pages 404 et redirection 301… Vous aurez tout le loisir de prendre connaissance de l’importance des modules de référencement PrestaShop, soyez attentifs à ce sujet. Le référencement de votre boutique en ligne PrestaShop Si il y a bien un point en commun entre le CMS PrestaShop et ses concurrents c’est qu’il ne vous fera pas des ventes tout seul ! Pour vendre en ligne il faut vous le savez être bien positionné sur des mots clés concurrentiels et répondre ensuite aux critères d’exigences de vos clients potentiels. Voici cinq recommandations pour référencer un site PrestaShop : Votre site doit se charger rapidement, veuillez lire des conseils pour accélérer la vitesse de chargement d’un PrestaShop. Il doit contenir du contenu de qualité avec des informations cohérentes pour l’utilisateur. Une boutique PrestaShop ne doit pas créer d’erreur de serveur, assurez-vous de choisir le bon en fonction de votre trafic instantané. Un développement de sa notoriété doit être opéré en étant actif sur les réseaux sociaux (création de page Facebook, Twitter, Instagram, Pinterest…). Si votre boutique en ligne dispose d’un magasin, créez une page Google Business. Il y a un sixième conseil pour le référencement de boutique en ligne PrestaShop c’est essayer d’obtenir naturellement des liens sur des sites qui ont de l’autorité, sans doute le plus compliqué et le plus cher… Si vous avez bien travaillé, que vos produits sont de qualité et que vous apportez une grande satisfaction à vos clients alors votre notoriété se fera doucement, mais surement et ce sans rien payer. Vendre, vendre et vendre ! Comment vendre lorsque l’on débute avec PrestaShop, que l’on n’a pas forcément un grand réseau de connaissance, des ambassadeurs pour parler de notre marque ? Il n’y a pas de mystère, il faut trouver des clients, car si vous ne vendez pas vous perdez de l’argent. Un stock qui dort peut avoir de lourdes conséquences sur l’avenir de votre entreprise e-commerce. Vos fournisseurs pourront peut-être émettre des conditions sur votre partenariat, il ne faut donc pas se reposer sur ses lauriers en espérant qu’un internaute vienne vous faire une commande de 10 000 euros ! Comment trouver et cibler des clients pour une boutique PrestaShop ? La question vous surprend peut-être, mais il existe bien des solutions pour cibler les internautes et les diriger sur un produit en particulier. Vous allez très certainement devoir faire du référencement payant ou utiliser des marketplaces, Google Shopping pour écouler votre stock. Cela signifie que vous allez devoir vous serrer la ceinture quelques temps, car vos marges vont en prendre un coup. Vous avez également la possibilité de faire appel à nos services pour bénéficier d’une campagne avec une arme très efficace qui est le retargeting une solution efficace pour vos campagnes Google Ads. Avis Prestashop On

Eye Tracking et Web Tracking : les méthodes neuromarketing favorites des entreprises

L’Eye Tracking (ou occulométrie), est une méthode utilisée en neuromarketing. Elle permet de suivre le regard de l’utilisateur pendant qu’il consulte un site internet. Afin de mieux cerner le parcours des internautes sur un site et améliorer le taux de conversion, l’Eye Tracking décode les comportements en temps réels. Cette stratégie neuromarketing permet aux entreprises de mieux comprendre le parcours des consommateurs et les motivations d’achat. Le Web Tracking permet quant à lui de mesurer des clics ou des déplacements de curseur par exemple. Quels sont les atouts de la méthode de l’Eye Tracking ? L’Eye Tracking est une technique qui consiste à mesurer le mouvement des yeux des utilisateurs sur le web. Cela consiste précieusement à déterminer où se porte le regard de l’internaute lorsqu’il navigue sur une interface. Grâce à cette méthode neuromarketing, on peut préciser quelles sont les zones de brèves visualisations et celles qui sont réellement lues. Les atouts de l’Eye Tracking sont multiples. Avec cette technique, il est possible de définir les mouvements inconscients du regard des utilisateurs.Cela donne des informations sur les attentes des consommateurs. Dans le cadre d’un test d’interface, on peut établir les zones de chaleur et le parcours visuel. On peut alors mieux définir les enjeux de l’ergonomie d’un site web et évaluer le degré d’engagement des visiteurs. Cette méthode aide à faire des choix pour la structure du site. Test d’Eye Tracking : comment ça se passe ? Le test d’Eye Tracking permet de tester l’efficacité d’un site avant son lancement ou dans une phase de restructuration notamment. Une caméra infrarouge est disposée sur une paire de lunettes spécifiques. Ce test se déroule dans un laboratoire disposant du matériel nécessaire. Les lunettes oculométriques sont fréquemment utilisées en neuromarketing. Le plus souvent c’est pour identifier les produits ou les publicités qui plaisent le plus aux internautes. Le Test Eye Tracking peut aussi se faire avec un PC disposant de diodes infrarouges avec des caméras spécifiques. Les dispositifs d’Eye Tracking sur ordinateur ne sont pas visibles par les personnes passant le Test. Quand utiliser la technique de l’Eye Tracking ? On peut utiliser l’Eye Tracking pour évaluer une ergonomie mobile, un design, des visuels produits ou un logo par exemple. Quels outils de Web Tracking pour comprendre le parcours utilisateur ?   Source : Hotjar Analyser le parcours des internautes sur internet est maintenant possible avec les outils de Web Tracking. Mais quels outils adopter ? Voici une liste non exhaustive de ces solutions bien utiles en webmarketing. L’outil de Web Tracking Hotjar (cartes thermiques, fonction enregistrement vidéo, fonctionnalité entonnoir de conversion, etc). Inspectlet (enregistrement des sessions, cartes de chaleur, analyses des parcours de conversion, etc) KISSmetrics Calq.io (pour les applications mobiles) CrazyEgg (carte de chaleur et carte de scroll) Clicktale Yandex Metrica. 3 styles de cartes de chaleur pour analyser le parcours internaute Il existe 3 catégories de cartes de chaleur : Le heatmap Eye Tracking (zones visionnées ou ignorées par les internautes) Le heatmap Click Tracking (zones avec le plus de clics et le moins de clics) Le heatmap Scroll Tracking (déplacements de curseur)

Marketing de contenu : 10 bonnes pratiques à appliquer pour réussir

Au cœur d’une stratégie digitale, le marketing de contenu peut être le principal levier de génération de leads et de ROI pour votre business. Mais pour que votre démarche réussisse pleinement, il faut appliquer en permanence les meilleures pratiques.   1 # Bien cibler votre sujet   Votre marketing de contenu doit parler d’un sujet qui ne soit ni trop vaste, ni trop restreint. Veillez à bien le circonscrire dès le départ pour garder le cap tout au long de l’avancée de votre stratégie.   2 # Être régulier dans les publications   Pour attirer et fidéliser votre audience, vous devez produire du contenu régulièrement. Sinon vos lecteurs ne sauront pas s’y retrouver et manqueront vos publications. Les moteurs de recherche sauront aussi mieux vous référencer si vous êtes régulier.   3 # Promouvoir vos contenus   Une fois vos contenus élaborés, il est nécessaire d’investir du temps dans leur promotion. Relayez-les sur les réseaux sociaux, rédigez des communiqués de presse, faites du guest blogging, … Comptez aussi sur le netlinking pour donner des lecteurs à votre marketing de contenu.   4 # Présenter une qualité suffisante et constante   Pour intéresser et accrocher votre cible, il vous faut concevoir constamment des contenus de qualité. Ne perdez pas votre audience en laissant publier des articles de faible consistance ou d’un tout autre niveau d’expertise que les précédents. La qualité est aussi dans la présentation, pensez lisibilité sur les smartphones.   5 # Savoir diversifier les contenus   Sachez offrir une large variété de contenus à votre lectorat. Diversifiez les formes, les thèmes et les supports de votre marketing de contenu. Rédigez de longs articles de blog, des posts d’actu et des billets d’humeur, faites des vidéos, des infographies et des livres blancs, essayez-vous aux checklists, études de cas, tutoriels, questions-réponses, …   6 # Suivre une ligne directrice dans votre marketing de contenu   Bien qu’il faille varier les sujets, vous devez avoir en tête un message principal à saupoudrer dans tous vos contenus. Pensez à toujours garder le cap. C’est d’autant plus complexe à mesure que vous avancez et que vous produisez du contenu en masse.   7 # Être SEO-friendly tout en écrivant pour les humains   Votre marketing de contenu doit être correctement optimisé pour que les internautes le voient. Le SEO est une technique fondamentale. Pour autant, n’occultez pas que vos cibles ne sont pas les moteurs de recherche, mais bien des consommateurs, vos prospects et clients.   8 # Produire suffisamment de contenu   Si vous êtes seul à créer des contenus ou si ce n’est pas votre métier, vous risquez d’avoir des difficultés à produire suffisamment de contenu. Pensez alors à déléguer à une agence digitale ou un freelance. Moins vous élaborez rapidement de contenu, plus vos premiers résultats se feront attendre, ce qui risque de vous décourager.   9 # Mesurer convenablement l’efficacité du marketing de contenu   Pour ajuster votre stratégie, il vous faut utiliser des outils d’analyse (tels que Google Analytics et consorts), correctement les paramétrer et vous en servir régulièrement. Par un ajustement permanent, vous arriverez à booster votre ROI.   10 # Dégager le budget adéquat   Décrite (à juste titre) comme peu onéreuse, la démarche n’en nécessite pas moins un budget. Il est impossible d’entreprendre un telle stratégie sans débourser un sou. Sachez anticiper les coûts au plus juste.

Qu’est-ce que le first clic/last clic ?

Lorsqu’un prospect devient client, il est forcément passé par certaines étapes : visite(s) de votre site Web, message sur l’un de vos réseaux sociaux, lecture d’une newsletter ou d’un article de votre blog, etc. Toutes ces étapes sont appelées le « parcours client ». Une fois ce parcours déterminé, il est possible d’en déduire un modèle d’attribution. Ce dernier mesure l’influence de tel ou tel levier ayant engendré la conversion du client. L’objectif est donc de connaître les leviers les plus efficaces et d’investir à leurs niveaux pour rentabiliser vos actions marketing. First clic/First touch Le first clic est le modèle d’attribution qui considère que la première source sur laquelle le prospect a cliqué avant de devenir votre client, est la plus importante. C’est grâce à cette source que l’utilisateur a pris conscience de l’existence de votre marque et qu’il a interagi avec elle. On parle de première prise de contact et de sensibilisation de la marque. Ce modèle d’attribution est généralement utilisé par les experts en publicité en lignecampagnes marketing oublient de prendre en compte d’autres leviers très importants. C’est également difficile pour eux, en ne prenant en compte que ce levier, d’optimiser les conversions, tout simplement parce que le premier levier est souvent identique à beaucoup de clients. Last clic/Last touch Le last clic est le modèle d’attribution directement lié à la vente. Il s’agit de la dernière interaction avec la marque réalisée par le prospect avant de devenir pour la première fois l’un de ses clients. L’accent est mis sur le dernier levier d’acquisition : il ne prend pas en compte tous les autres leviers apparus précédemment. Ce modèle est très répandu et très apprécié des marketeurs qui ont tendance à tout miser sur lui. Malheureusement, il n’est pas toujours représentatif d’un parcours client réaliste puisqu’on ne sait pas par quelles étapes les prospects sont passés avant d’en arriver là. Pire encore, ce levier peut s’avérer d’une importance mineure si les prospects sont obligés de passer par le même canal pour effectuer leurs achats. Le last clic ne prend ni en considération les campagnes de pre targeting, ni le display, ni même les sites affiliés au vôtre par lequel les flux circulent malgré tout. En conclusion, ni l’une ni l’autre de ces attributions ne sont suffisantes pour mener à bien une enquête de conversion réaliste. De plus en plus de marketeurs se tournent donc vers une stratégie cross-canal qui analyse, grâce notamment à des outils comme Campaign Analytics, l’influence de chacun des leviers par lequel le prospect est passé. Ainsi, il devient plus aisé de comprendre l’importance de tel ou tel partenariat, de rémunérer le partenaire en conséquence et de pouvoir investir dans les leviers qui sont réellement vecteurs de réussite. Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

Qu’est-ce que le « Data Driven Attribution » ?

Le « Data driven attribution » ou “data driven marketing” est fortement lié au Big data. Il va, à l’aide des données collectées par le Big data, donner des précisions sur les comportements d’achat des clients. Grâce à une bonne interprétation de ces informations, les experts marketing peuvent mettre en place des actions de communication ciblées. Le data driven attribution permet donc aux experts de mieux connaitre leur cible, d’établir leur profil, de comprendre leur comportement d’achat, d’entrer en communication avec eux et de les fidéliser. Une « attributon basée sur les données » Lorsque les internautes cliquent sur certains liens plutôt que d’autres, il peut y avoir à cela des raisons implicites ou évidentes. Mais les faits sont là : si certains de vos prospects qui ont l’intention d’effectuer des achats se rendent sur votre site et en ressortent sans rien acheter, il faut arriver à déterminer les causes de cet échec. Au contraire, si des visiteurs atterrissent sur votre site avec l’intention d’acheter, et qu’ils achètent vraiment, il faut se demander pourquoi ils achètent chez vous et pas ailleurs. Si votre client a réalisé un achat alors qu’il n’avait pas l’intention d’acheter quoi que ce soit, c’est alors une réelle victoire pour vous, mais comment comprendre ses besoins et ses envies si ce n’est par l’analyse de son comportement et de ses habitudes ? Les moyens à mettre en place pour plus de conversion Lorsque vous savez, grâce aux données récoltées, sur quels liens vos clients ont cliqué avant d’atterrir chez vous, vous pouvez facilement en déduire les itinéraires de clics qui fonctionnent et ceux qui pêchent. Le but est donc en premier lieu d’analyser la performance de vos campagnes (est-ce que vos clients sont tous passés par vos bannières publicitaires ou est-ce qu’il y en a qui sont passés par des comparateurs de prix avant d’effectuer leurs achats sur votre site ?). En deuxième lieu, de modifier ou d’améliorer certaines campagnes marketing en ligne si vous voyez que certains d’entre eux peinent à vous trouver ou passent par trop d’intermédiaires avant d’arriver à destination (cela peut être le choix de vos mots-clés Google AdWords par exemple). In fine, vous devez pouvoir atteindre vos clients plus rapidement, grâce à moins de clics (vous pouvez analyser le taux de clic sur Google Ads). Mais surtout, les atteindre plus efficacement grâce aux informations dont vous disposez et aux moyens mis en place pour réussir à les convaincre. Recevoir des conseils pour ma stratégie d’acquisition

Customer journey : Pourquoi et comment l’analyser ?

Le « customer journey » est le chemin (journey) qu’a parcouru votre client (customer) jusqu’à son achat de produit ou service dans votre boutique physique ou en ligne.   La question fondamentale qu’on doit se poser est la suivante : qu’est-ce qui a fait que CE client (avec toutes ses caractéristiques) a acheter CECI (produit, service) dans VOTRE boutique en ligne (et pas dans une autre boutique concurrente) ?   Le customer journey analyse donc toutes les actions que le client ou le prospect effectue avant d’entrer dans le processus d’achat. Et plus tard, lorsqu’il effectue concrètement ses achats.   Pourquoi est-il nécessaire de comprendre le parcours de l’utilisateur ?   Presqu’aucun client n’achète du premier coup sur votre site dès qu’il s’y trouve. Il va d’abord :   se renseigner sur votre entreprise, analyser ce que vous vendez, comparer les prix avec ceux que proposent d’autres marques, vérifier certains critères comme votre politique de retour, d’échange ou de remboursement, les possibilités d’accumuler certains avantages comme des points de fidélité ou de parrainage, les délais et modalités de livraison, de paiement, etc.   Toutes les actions entreprises par le client sont autant d’indices qui vous permettront de savoir sur quoi miser lors de la prochaine mise en place de vos produits, textes et descriptions, images, notifications, etc.   Effectuer une « customer journey map » pour plus d’efficacité   Afin de mieux visualiser le parcours de votre client depuis son arrivée sur le moteur de recherche jusqu’à son achat avec sa carte bancaire, vous pouvez éditer une carte (map).  Cette carte vous aidera à mieux comprendre ce qu’il se passe dans sa tête et par quel type de raisonnement il est passé :   à quelle heure s’est-il connecté ? Pourquoi ? Comment vous a-t-il connu ? Est-ce grâce à une recommandation ? À un salon ? À une bannière publicitaire ? Combien de minutes est-il resté sur la page d’accueil ? Pourquoi ? Quelles pages a-t-il consultées avant de placer vos produits dans son panier ? Combien de temps a-t-il mis pour valider l’ensemble de son panier et passer à l’étape suivante (le paiement) ? Pourquoi ? etc.   La réponse à toutes ces questions permet donc de mieux comprendre le schéma mental de l’utilisateur. Mais cela vous permet aussi :   de comprendre et d’anticiper ses futures actions, d’avoir une vision claire et définie de ses besoins et des moments dans la journée ou dans l’année où il en a besoin, de convaincre les parties prenantes de lancer un projet en particulier, d’améliorer certains points négatifs qui pourraient freiner la vente ou la mise au panier, de mesurer les impacts de certaines mises en place, de savoir vers quoi tendre en matière d’innovations, qu’elles soient au niveau du site lui-même (programmations à faire, applications à développer) ou des produits à fabriquer (mise à jour avec la concurrence).