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Référencement Naturel ou Payant ?

Si vous venez de lancer une nouvelle boutique en ligne et que vous ne vous êtes pas encore posé la problématique de la visibilité sur internet, sachez qu’il existe de multiples canaux d’acquisition de trafic. Le premier et pas forcément le plus volumineux en terme de trafic est celui du référencement organique, dit référencement naturel. Il s’agit d’attendre que les visiteurs vous trouvent via les moteurs de recherche. L’inconvénient du référencement naturel est qu’il est chronophage et que les résultats sont incertains. Vous aurez beau avoir le plus beau contenu, le plus beau maillage interne (et ce en utilisant les dernières techniques en la matière telles que le cocon sémantique, le visiteur ne viendra peut être pas sonner à votre porte naturellement, en tous les cas pas tout de suite, l’algorithme de Google ne se laisse pas apprivoiser si facilement… De plus, avez vous sélectionné les bons termes de recherches lors de la création de vos pages ? Vous ne pouvez réellement en être sur à l’avance. Et si par bonheur vous avez la chance d’apparaitre bien placé, saviez vous que votre site peut se voir un jour pénalisé (par un référencement négatif d’un concurrent par exemple), et disparaitre des résultats en 24h ? Miser uniquement sur ce levier d’acquisition qu’est le SEO n’est pas toujours une stratégie pérenne, il faut impérativement diversifier ses sources de trafic qualifié. Le référencement payant : acquisition instantanée de prospects ! L’avantage du référencement payant est qu’il va vous apporter des visites quelques heures à peine après le démarrage de votre campagne publicitaire. Qu’il s’agisse de liens sponsorisés Google Adwords, de publicités Facebook, ou encore de présence sur les places de marché, l’acquisition du visiteur est quasi garantie dès lors que vous disposez du budget suffisant pour capter l’attention (le clic). Il est alors question de ROI (Retour sur Investissement), et non plus d’attendre patiemment qu’un visiteur vienne naturellement sur votre site web afin d’acheter un produit ou un service. L’inconvénient du référencement payant est qu’il est nécessaire de concevoir de nombreuses publicités et annonces en fonction de toutes les plateformes ou vous souhaitez apparaitre. Cela est fastidieux et coûteux en temps humain. C’est exactement la où est la force de SteerFox, agence de référencement payant : créer des milliers d’annonces en quelques minutes, la ou il vous faudrait des journées voir des semaines complètes pour créer une campagne équivalent. Vous pourrez donc dormir tranquillement, une fois votre E-Commerce en place, l’agence multiplateforme SteerFox sera en mesure de gérer vos campagnes Google Ads, Bing Ads, Amazon Ads, TikTok Ads, Pinterest Ads, Facebook Ads, etc…d’une manière optimale et en toute transparence et ce pour un tarif très compétitif. Tenté par une analyse de votre potentiel de croissance e-commerce ? Faîtes analyser vos campagnes pour comprendre les opportunités inexploitées et recevoir un plan d’actions dédié.

E-Publicité : fausses promesses et vrais retours

Sommaire Source: lenouveleconomiste.fr Entre bons résultats et gros potentiel, l’e-publicité bataille pour une meilleure visibilité et contre le trafic frauduleux. La publicité sur Internet a le vent en poupe. En 2015, le chiffre d’affaires de la communication online a connu une progression de 6 % et représente maintenant près de 28 % des investissements médias, talonnant les investissements de la télévision et distançant la presse. Cependant, si les outils du marketing web se développent et permettent d’affiner les messages en fonction de l’audience, beaucoup de publicités manquent leur rendez-vous avec un client potentiel. Faux sites, audiences trafiquées, robots cliqueurs…, la fraude est l’autre limite de l’e-publicité auxquels les professionnels doivent faire face. La visibilité réelle devient alors l’objectif prioritaire, celui qui permet le véritable retour sur investissement des annonceurs sur Internet, ceux qui rendent possible le modèle de l’Internet gratuit que nous connaissons jusqu’à aujourd’hui. Le constat est implacable : la moitié des publicités sur le Net ne serait pas vue, d’après le baromètre de l’AdVerification en 2015. En d’autres termes, les annonceurs payent des sommes importantes pour des publicités qui ne seront pas assurées de trouver un public. Un gâchis de taille. La lutte pour une visibilité accrue est donc l’objectif majeur pour optimiser le retour sur investissement. Le marché de la publicité sur Internet en France représente autour de 3 milliards d’euros et se trouve vampirisé par Google qui, à lui seul, accapare environ 1,8 milliard du butin. D’autres géants du Net comme Facebook ou encore Pinterest proposent de plus en plus des formats publicitaires novateurs pour les annonceurs. « De nouveaux entrants arrivent et les professionnels en sont heureux et optimistes, mais il faut savoir que Google détient la part du lion », confirme Pierre Gaudet, président de Steerfox, agence SEA à Paris et Aix en Provence qui propose d’optimiser et d’automatiser les campagnes publicitaires sur la Toile. Nouveau paradigme Un marché qui a bien évolué ces dernières années. Il n’est plus question de lancer une campagne de pub en masse et de faire un bilan deux mois plus tard. “Ça ne se passe plus du tout comme avant, assure Nicolas Tralongo, fondateur de 2Emotion, une plateforme de marketing digital et vidéo. Les technologies permettent de savoir à qui on s’adresse, homme, femme, CSP, nouveau venu ou connaisseur de la marque, etc. Toutes ces informations sont disponibles et permettent de s’adapter à une audience type avec un message dédié.” C’est pour le moment l’avantage de l’e-publicité sur toutes les autres formes de réclame, la seule qui soit en mesure de cibler le futur client, de se montrer pertinente en fonction de ce que l’on sait de lui. Et ce que l’on sait de lui, les marques ont pu le collecter sur tous les supports informatiques possibles et elles sont désormais capables de comprendre que la même personne s’est connectée, qu’elle soit sur son ordinateur, sa tablette ou son smartphone (par la technologie du cookie et des données de navigation). Il y a d’abord eu la CRM (Customer Relationship Management), ou GRC (gestion de la relation client) en français, qui permettait de collecter et rassembler toutes les informations sur des clients pour mieux les fidéliser. “Depuis 3 ou 4 ans est arrivée la DMP (Data Management Platform)”, se souvient Hervé Malinge, PDG de Makazi, une société issue de la Data et éditeur d’une plateforme de gestion de données en mode SAAS. “Ce n’est pas la suite de la CRM, mais elle se nourrit de celle-ci et va plus loin car elle stocke aussi des données issues des campagnes médias.” Ainsi, lorsqu’un internaute visite un site, il est pisté via un cookie qui avertira la marque qu’il a été exposé à sa publicité. “Grâce à la DMP, nous allons beaucoup plus loin dans la connaissance d’un client par son cookie, poursuit Hervé Malinge. Ce profil-là a tel comportement d’achat, je sais ce qu’il a acheté depuis 5 ans chez moi, s’il ouvre mes e-mails, s’il navigue sur mon site, quels produits il voit…” Grâce à cette combinaison de données massives et des algorithmes mathématiques, les marques vont pouvoir affiner encore davantage les segments et ainsi diffuser le bon message au bon moment à la bonne personne. L’outil prépondérant pour parachever ce paradigme publicitaire est le RTB (Real Time Bidding), soit l’enchère en temps réel. “Quand l’internaute arrive sur une page, on a le temps de demander à l’annonceur combien il est prêt à payer pour que sa publicité passe plutôt qu’une autre, explique Pierre Gaudet. Ce n’est pas la clé du succès, mais cela permet d’optimiser sur un certain point précis.” “C’est la tendance fondamentale du marché. Associé à la DMP, le RTB devient un outil redoutable”, ajoute Nicolas Tralongo. La bataille de la visibilité Avant tout cela, il faut aussi pouvoir se rendre visible aux yeux de l’internaute, et cela passe par une bonne connaissance des formats visuels. Il ne s’agit pas ici d’attirer seulement l’attention, mais, dans un premier temps, de se mettre dans la capacité d’être vu. C’est tout l’enjeu des bannières ou des vidéos qui fleurissent sur les sites. Mais, morne constat, une bonne moitié n’est vue par personne. Mais qu’est ce exactement que la visibilité ? “Il y a la définition qui met tout le monde d’accord, donnée par l’IAB (Intractive Advertising Bureau), explique Nicolas Tralongo. Une publicité display est reconnue visible quand 50 % de ses pixels sont visibles pendant une seconde au minimum. Pour la vidéo, c’est lorsque 50 % de la création est visible au moins 2 secondes.” Avec une nuance fondamentale : la visibilité, ce n’est pas ce qui est vu, mais ce qui peut être vu. “La visibilité, c’est important, mais il faut la mesurer !, expose Michael Gonzalez, directeur général de Ve Interactive. De plus en plus de sociétés la mesurent. Il y a beaucoup de débats à ce sujet, sur les KPI (Key Performance Indicators) les plus complets ou des outils qui mesurent l’efficacité d’une campagne.” Hélas, cette visibilité tant recherchée comme le Graal par les chevaliers d’Arthur n’est pas une science exacte et demeure dépendante de l’attitude imprévisible de