Quelles sont les nouveautés e-commerce du mois de Décembre ?
En tant que solution dédiée à la performance produit des e-commerçants, nous avons choisi de vous partager chaque mois, une sélection de sujets issus de notre veille. Au programme : sanctions pour Meta et Amazon, prédictions sur les publicités pour 2023 et évolution des tendances, Amazon en passe de devenir le nouveau rival de TikTok…
Sommaire
L'actualité à retenir... 🚀
AMAZON SANCTIONNÉ
Amazon a été sanctionné en France par la DGCCRF et doit faire face à la Commission Européenne
La DGCCRF (la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes) a officiellement fait part de sa décision de poursuivre Amazon pour un montant de 3,3 millions d’euros*, mercredi 7 décembre.
Le leader de l’e-commerce est jugé responsable de l’utilisation de clauses abusives dans ses accords avec les vendeurs tiers sur sa plate-forme française.
La DGCCRF a relevé un déséquilibre significatif à l’avantage de l’entreprise de Jeff Bezos.
Deux points ont été spécialement pris en compte :
1) le droit dont bénéficie Amazon de modifier ou de rompre un contrat sans avis préalable,
2) l’interdiction pour les vendeurs de prospecter les acheteurs touchés par le biais de la plateforme en ligne.
Pour inciter Amazon à corriger ses conditions, l’autorité française avait demandé à l’entreprise de « modifier rapidement, et au plus tard le 22 mars 2022, certaines clauses contenues dans ses conditions contractuelles applicables aux vendeurs tiers sur sa plateforme Amazon.fr ».
Passé cette date, l’autorité avait annoncé une pénalité de 90 000€ par jour à partir du 22 mars.
Ce n’est pourtant que le 28 avril 2022 qu’Amazon a effectué sa mise en conformité.
Puisque cette pénalité n’a pas été payée, le total des sommes demandées s’élève désormais à 3,3 millions d’euros.
La DGCCRF souligne tout de même plusieurs points d’amélioration de la part d’Amazon, mais le manque d’équilibre commercial persiste.
Le mardi 6 décembre, un porte-parole d’Amazon France a assuré que la DGCCRF avait « reconnu » les changements effectués en avril comme étant conformes. Il a également noté que l’entreprise était en désaccord avec les conclusions de la Répression des fraudes : « Nous demeurons déterminés à offrir la meilleure expérience à nos clients et vendeurs partenaires ».
En France, Amazon a déjà été condamné à plusieurs reprises. Le tribunal de commerce de Paris a ainsi infligé en 2019 une amende de 4 millions d’euros à Amazon France, estimant qu’il y avait « différentes clauses déséquilibrées dans le contrat qu’Amazon imposait aux entreprises » utilisant son site web français.
Malgré ces amendes, Amazon ne semble pas être économiquement affecté. En effet, en 2021, l’entreprise a enregistré un chiffre d’affaires de 9 milliards d’euros en France, une hausse de +23 %.*
*Source : https://siecledigital.fr/2022/12/08/dgccrf-amende-3-3-millions-euros-amazon/
PRÉDICTIONS PUBLICITÉ 2023
GroupM a publié ses prédictions de 2023 du secteur de la publicité
GroupM, société leader en matière de conseil et d’investissements publicitaires rassemblant les activités médias du groupe WPP, présente ce mois-ci les résultats de son rapport mondial « This Year Next Year ».
Selon le rapport « This Year Next Year » de GroupM, les investissements publicitaires ont connu une croissance de 6,5 % dans le monde et de 7,6 % en France en 2022. D’après GroupM, 2023 verrait une expansion des investissements publicitaires mondiaux de +5,9 % et de +6,3 % pour la France.
Voici l’état des lieux de la publicité dans le monde en fonction du média :
• Le digital – La croissance de la publicité digitale est estimée à + 9.3 %. La part des investissements publicitaires numériques sur le total des investissements est actuellement de 67 % et devrait atteindre 73 % d’ici 2027, selon les estimations de GroupM.
• La télévision – La croissance de la télévision reprend sa trajectoire prépandémique, quoique plus lentement en 2022 avec un taux de progression de 1,7 % (sans inclure la publicité politique aux États-Unis). GroupM anticipe une hausse constante entre 1 % et 3 % durant les cinq années à venir.
• L’affichage – Selon les prédictions, la croissance mondiale (hors États-Unis) devrait atteindre + 2,2 %, ou + 18,1 % si l’on exclut la Chine. Le marché le plus vaste en matière d’affichage ces six dernières années, la Chine, a été durement touchée par le projet de « Zero-Covid » du gouvernement, entravant l’impact de la publicité en extérieur.
• L’audio – Les recettes publicitaires audio ont augmentées de + 3,8 % cette année (hors campagnes politiques américaines) et devraient rester stables en 2023. L’audio numérique représente maintenant près d’un quart des recettes publicitaires audio et croît bien plus vite que le média dans son ensemble.
• Le print – Après une courte pause en 2021, le média presse poursuit son déclin à -4 % en 2022. La presse quotidienne affiche pour sa part une croissance de 3,3 % et représente les 2/3 des revenus du média sur cette année. GroupM prévoit une diminution continue du print sur les trois prochaines années, à un rythme moyen légèrement inférieur à 3%.
META ÉPINGLÉ
La Commission Européenne accuse META (Facebook) de position dominante
Meta, l’immense entreprise américaine d’internet (propriétaire de Facebook, Instagram et WhatsApp), est de nouveau sous le feu des critiques à Bruxelles.
La Commission européenne a rendu un avis préliminaire concernant une enquête débutée en juin 2021, et la décision laisse peu de place à l’interprétation : l’entreprise fausserait la concurrence sur les marchés des annonces publicitaires sur le web.
Pour cause : l’entreprise Meta a relié son service d’annonces publicitaires en ligne, Facebook Marketplace, à son propre réseau social, Facebook. Par conséquent, la crainte de la commission européenne est que Meta impose des conditions commerciales « à son profit », qui sont déloyales vis-à-vis des concurrents de Facebook Marketplace.
La stratégie économique de Meta est presque entièrement orientée vers la publicité en ligne. Les annonceurs qui veulent acheter de l’espace publicitaire sur le réseau social doivent également fournir des informations confidentielles.
Là où cela risque de devenir problématique, c’est que certains de ces annonceurs peuvent aussi être des concurrents directs de Facebook Marketplace. Et dans ce cas, Meta pourrait être tenté d’utiliser ces données pour concurrencer ces entreprises rivales, ce qui serait un abus de position dominante. Surtout que Facebook est un acteur incontournable de la publicité en ligne.
L’an dernier, Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la concurrence à Bruxelles, a déclaré que Meta pourrait bénéficier d’un « avantage indu », notamment dans le secteur des annonces en ligne « où des personnes achètent et vendent des biens tous les jours et où Facebook est également en concurrence avec des entreprises auprès desquelles elle collecte des données ».
Meta pourrait donc être formellement accusé d’avoir enfreint les règles de l’Union européenne, et cela pourrait coûter très cher à l’entreprise.
SOCIAL SHOPPING
Deloitte et la la banque GP Bullhound dévoile que Tiktok et le social commerce vont continuer leur croissance en force
Dans un rapport publié lundi 5 décembre, la banque d’affaires internationale et de conseil GP Bullhound a identifié les innovations qui devraient marquer le secteur de la Tech en 2023.
Selon ces prévisions, les consommateurs délaisseront les plateformes de commerce en ligne pour acheter directement sur leurs médias sociaux préférés, et TikTok deviendra le «roi de la publicité» avec des recettes publicitaires estimées à 13,8 milliards de dollars d’ici 2026.*
Il s’avère que le divertissement sur écran a évolué au-delà de la télévision et des films, et les consommateurs affluent vers les médias sociaux et les influenceurs qu’ils y trouvent pour se divertir, s’informer, créer une communauté et découvrir des produits et services.
Le commerce social américain a connu un chiffre d’affaires de plus de 53 milliards de dollars cette année et devrait atteindre plus de 107 milliards de dollars en 2025.
La raison est que le nombre de nouveaux acheteurs de commerce social (poussés par TikTok) augmente en même temps que la dépense moyenne par utilisateur augmente. D’ici à 2025, plus de 114 millions d’utilisateurs dépenseront en moyenne près de 1000 dollars par an en achats sociaux.
Qui plus est, une étude réalisée par Deloitte en 2022 révèle que les membres de la génération Z et de la génération Y sont plus susceptibles que ceux de la génération X de dire que les médias sociaux ont une influence sur leurs décisions d’achat.
De plus, Google a découvert que près de 40 % des jeunes Américains (âgés de 18 à 24 ans) utilisent TikTok et Instagram comme principaux moteurs de recherche.
Bien que Meta soit actuellement le leader sur la publicité sociale, TikTok poursuit sa course vers la première place, dépassant Pinterest pour la première fois cette année en termes de nombre d’acheteurs sociaux.
TikTok a pris des mesures cette année pour renforcer son activité de commerce social, notamment en élargissant sa fonction TikTok Shop aux entreprises américaines et en construisant des centres de traitement pour les produits. Une variété d’outils pour aider les annonceurs à mesurer plus efficacement leurs campagnes ont aussi été ajoutés.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça marche !
RELAIS COLIS
Quadient et Carrefour s’associent pour ouvrir 300 consignes colis au sein de l’enseigne de grande distribution en France
Relais Colis a été l’un des précurseurs à tester la livraison par consignes, qui permet aux clients de récupérer et de déposer leurs colis sans restrictions horaires.
Pour aller plus loin dans cette démarche prometteuse, la PME s’associe avec Quadient, un opérateur mondial de consignes colis connectées et leader dans les technologies de gestion des communications clients pour les entreprises.
Le but de cette collaboration est de permettre l’installation de consignes automatiques auprès des partenaires de Relais Colis, principalement parmi les grandes et moyennes surfaces.
L’enseigne Carrefour fait justement partie de ces grandes surfaces concernées, puisqu’elle bénéficie des services de Relais Colis depuis des années.
Désormais, Carrefour va profiter de ce partenariat pour offrir à ses clients entre 200 et 300 consignes colis dans ses magasins en France.
« Inventeur de la livraison en points relais, Relais Colis est un acteur historique du marché qui se doit de savoir s’adapter rapidement tout en étant source d’options supplémentaires pour les consommateurs. Les consignes en sont une qui offrent une grande liberté aux consommateurs. C’est une solution flexible qui nous permet non seulement de proposer un service en parfaite complémentarité avec le point relais colis traditionnel mais surtout d’accroître la capacité d’accueil de nos commerçants partenaires, et de leur générer du trafic incrémental, tout en préservant leur activité principale », a déclaré Christophe Cornilleau, PDG de Relais Colis.
« Notre réseau de consignes Parcel Pending séduit de plus en plus d’acteurs du secteur en France, qui cherchent à diversifier leur offre de livraison. Avec Relais Colis, notre collaboration ne date pas d’hier. Évoluant sur le même univers du dernier kilomètre et partageant des valeurs communes, nous nous positionnons en tant que partenaire privilégié, convaincus de la complémentarité de nos services. Preuve en est aujourd’hui le projet au sein des magasins Carrefour », s’est réjouie pour sa part Katia Bourgeais Crémel, Directrice de l’activité Consignes Colis France Benelux chez Quadient.
AMAZON “INSPIRE”
Amazon lance sa nouvelle fonctionnalité “Inspire” : des vidéos et photos pour promouvoir des articles
Amazon s’apprête à lancer « Inspire », une plateforme de divertissement vidéo. La société de commerce électronique veut ainsi rivaliser avec l’application chinoise TikTok et offrir sa propre plateforme sociale.
Le géant du e-commerce utilise cette solution pour promouvoir des produits avec des photos et des vidéos. Selon le Wall Street Journal, cette nouvelle fonctionnalité « Inspire » permettra aux utilisateurs d’effectuer des achats à partir d’un flux vidéo personnalisé. Elle emboite ainsi le pas à Instagram ou encore à Youtube, dont nous vous parlions des vidéos « Shorts » dans la newsletter du mois dernier.
Pour le lancement de « Inspire », Amazon a embauché plusieurs influenceurs afin de remplir le flux vidéo avec des articles divers et variés.
Ces produits vont des objets d’intérieur aux vêtements en passant par les soins de la peau. Le lancement de cette fonctionnalité pourrait permettre à Amazon de défier TikTok sur le marché des achats en ligne.
Car si l’application de la société chinoise suscite beaucoup d’engouement et est parfaite pour découvrir des produits, elle a encore du mal à favoriser les actes d’achat – faiblesse dont Amazon pourrait tirer profit.
Il faut savoir qu’aujourd’hui, les créateurs qui postent des vidéos sur TikTok renvoient souvent leurs spectateurs vers la boutique Amazon avec des liens dans les commentaires. Les créateurs sont souvent affiliés à Amazon et reçoivent une commission pour tous les achats effectués sur la boutique en ligne du géant américain.
Changer ce système est compliqué pour TikTok, car il leur faudrait soit passer un accord avec Amazon pour toucher une commission sur les ventes réalisées depuis l’application; soit lancer leur propre plateforme de vente en ligne, avec un catalogue aussi riche que celui d’Amazon. Plus facile à dire qu’à faire… Alors que de l’autre côté, les choses sont bien plus simples pour Amazon.
En effet, Amazon dispose déjà de la plateforme de vente en ligne la plus populaire au monde. En faisant un pas vers le monde de la vidéo, Amazon espère encourager les créateurs à produire leurs contenus sur l’ application « Inspire », au détriment de TikTok.
Surtout que la société américaine pourrait augmenter les commissions des créateurs qui produisent directement du contenu sur Inspire afin de stimuler cette nouvelle fonctionnalité.
Le lancement d’Inspire pourrait être un vrai bouleversement pour le marché de la découverte de produits et de l’achat en ligne, et la plus grande menace pour TikTok.
ETUDE DU MOIS
METAPACK publie son rapport sur les expériences post-achat des consommateurs
Pour la dernière étude de METAPACK sur les expériences post-achat des consommateurs, un panel de +3000 consommateurs représentatifs ont été constitués aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France et en Allemagne.
Voici ce que nous apprend ce rapport :
La fidélisation de la clientèle est essentielle pour maximiser la valeur des clients e-commerce.
L’expérience post-achat est le stade le plus décisif du parcours d’achat en ligne, mais est souvent confiée à des tiers.
L’étude révèle que 93,5 % des acheteurs ont eu une mauvaise expérience post-achat au cours des 12 derniers mois et que 37 % d’entre eux cessent d’acheter auprès d’un détaillant après cette mauvaise expérience.*
De plus, à la suite d’une expérience négative après l’achat, 59,1 % en parlent à leurs amis et à leur famille, 27,2 % laissent un avis en ligne et 11,4 % en parlent sur les médias sociaux. Des chiffres à ne pas prendre à la légère quand on sait que 67 % des consommateurs sont moins enclins à acheter auprès d’un détaillant après avoir entendu qu’une personne de leur entourage a eu une mauvaise expérience avec lui.
Quelles sont les causes de ces mauvaises expériences post-achat en France ?
- Les retards de livraison à 56 %
- Les absences de livraison à 42 %
- Un suivi impossible à 28 %
- Des retours payants à 17 %
- Un suivi de livraison incompréhensible à 7 %
Pour résoudre ces expériences négatives post-achat, le suivi de livraison semble être l’élément clé : en France, le suivi de livraison est le facteur le plus important pour les acheteurs, qui y accordent plus d’importance encore que les retours gratuits ou la vitesse de livraison.
En effet, même si c’est le retard de livraison qui est cité en premier dans les causes des mauvaises expériences, le suivi de livraison permet de réduire la frustration en cas de retard. En pouvant suivre la progression de sa commande en temps réel, l’acheteur a la sensation de contrôler la situation. Il peut adapter ses attentes à la situation, ce qui diminue sa frustration.
Quelles sont les préférences des clients français en termes de méthode de suivi de livraison ?
- 49 % : site web du détaillant
- 21 % : email
- 16 % : sms
- 11 % : service client
- 3 % : chatbot
Vous savez désormais sur quoi vous concentrer pour éviter les expériences négatives post-achat et améliorer votre expérience client !
*Sources : https://client.infoprodata.fr/merci/metapack?submissionGuid=4ba5973b-1ce8-4099-b38c-9652657c6d4c
CHIFFRE DU MOIS
25,6% des internautes s’arrêtent à la page de résultats lors de leurs recherches en ligne
Une étude menée par Semrush a révélé que 25,6 % des requêtes sur PC et 17,3 % des requêtes sur mobile se soldent par un “zéro clic”.
Connaissez vous le terme du “zéro clic” ?
Le zéro clic est un phénomène qui se produit lorsque les internautes ne cliquent pas sur les liens des sites web fournis dans la page de résultats de recherche (SERPs) après avoir saisi leur requête initiale.
Autant dire que ce terme a de quoi faire peur aux marketeurs. Pour autant, il faut voir cela comme une opportunité. En effet, cette tendance est principalement due à des outils qui permettent à Google de répondre rapidement aux requêtes des utilisateurs comme les « featured snippets », ces extraits optimisés résumant les réponses aux requêtes web en haut des résultats de recherche, les « rich snippets » qui permettent de visualiser l’essentiel des réponses d’une page web sur les SERPs, les résultats images, mais également, et surtout, les fiches produits Google Shopping. Des articles qui sont proposés aux internautes suite à une requête de produit, afin qu’ils puissent trouver leur bonheur rapidement, sans ouvrir un site.
Vous avez ainsi la possibilité de diffuser votre catalogue produits à 1 utilisateur sur 4 grâce à Google Shopping.
*Sources : https://www.semrush.com/blog/zero-clicks-study/
WEBINAR DU MOIS
Comment renforcer sa compétitivité en tant que e-commerçant en 2023 ?
2022 a été une année de bouleversement pour le e-commerce : chute de trafic, baisse des ventes, inflation, coûts d’acquisition en hausse, financement de plus en plus restrictifs… Si en 2023, la crise est derrière nous, la gâteau à se partager ne sera pour autant par plus grand : 17% des shoppers pensent qu’ils dépenseront plus en ligne contre 22% qu’ils dépenseront moins.
Des chiffres qui soulèvent la nécessité d’être ultra-opportuniste en tant que e-commerçant !
Alors quelles sont les solutions pour renforcer sa compétitivité ?
Rendez-vous Mardi 24 Janvier 2023 à 11h en compagnie de Karmen.io !
Au programme de ce webinar :
> Comment dépasser le plafond de performances sur vos ventes en ligne ?
> Comment développer votre CA e-commerce sans détériorer votre marge ni votre trésorerie ?
> Comment exploiter pleinement le potentiel de ce tournant et rester ultra compétitif dans votre secteur d’activité e-commerce ?
votre trésorerie ?
> Comment assurer une croissance rentable de ses ventes en ligne en 2023 dans un contexte économique actuel extrêmement complexe ?
Tenté par une analyse de votre potentiel de croissance e-commerce ?
Faîtes analyser vos campagnes pour comprendre les opportunités inexploitées et recevoir un plan d’actions dédié.
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