Sommaire
Dernière ligne droite avant les fêtes de fin d’année. En tant qu’expert SEA e-commerce, nous avons choisi de vous partager, chaque mois, un récapitulatif de l’actualité e-commerce. La mission ? Mettre à votre disposition notre expertise secteur !
CHIFFRES E-COMMERCE
La FEVAD publie le Bilan 2021 sur l’e-commerce en France
En 2020, le secteur e-commerce, produits et services confondus a atteint 112,2 milliards d’euros. Une croissance annuelle de 8,5%, soit 3 points de moins que prévu par les anticipations de la FEVAD en début d’année. Mais également 4,5 points de moins que les 4 dernières années ou le taux de croissance moyenne atteignait 13%.
Cette année, la croissance e-commerce est principalement dûe à l’augmentation des achats en ligne de produits :
- +32% de croissance pour l’achat de produits en ligne
- -10% pour l’achat de services en ligne, un secteur très impacté par la pandémie
Quelles sont les différentes tendances e-commerce en BtoB ?
👉 E-commerce en BtoC
- Combien de Français achètent en ligne ?
Aujourd’hui 41,6 millions de Français achètent sur internet, soit 81,4% de la population de l’hexagone. Et 98 % des cyberacheteurs sont satisfaits de leurs achats réalisés sur Internet au cours des 12 derniers mois.
- Combien les e-acheteurs ont-ils dépensé en 2020 ?
En moyenne, les e-acheteurs ont effectué 3,7 transactions en ligne par mois avec un panier moyen de 61€.
- Quelles principales raisons ont poussé les consommateurs à acheter en ligne en 2020 ?
Hormis les 33% d’acheteurs qui disent ne pas avoir eu le choix, 52% des acheteurs l’ont fait pour éviter les risques liés à la pandémie et 45% pour éviter les contraintes.
- Quel rapport les cyberacheteurs ont-ils avec la livraison ?
En 2020, 42% des e-acheteurs se sont abonnés à au moins un service de livraison et 20% ont utilisé au moins un service de livraison express au cours des trois derniers mois.
- Quelle place prend l’international dans la stratégie de croissance des e-commerçants ?
En 2020, 59% des sites leaders vendaient à l’international depuis la France, et 28% d’entre eux sont présents dans plus de 10 Pays.
👉 E-commerce en BtoB
- Comment se porte le e-commerce aux professionnels en France ?
Le commerce BtoB en ligne a connu une baisse de la croissance dûe à la pandémie et à l’arrêt d’activité de nombreux secteurs : +11% de croissance en 2020 contre +14% en 2019.
- Quelles sont les perspectives e-commerce pour le BtoB ?
La pandémie semble avoir modifié les comportements de consommation de manière durable puisque 70% des acheteurs qui sont passés à l’e-commerce pendant la pandémie, affirment que cette évolution de consommation est désormais acquise.
- De quels secteurs sont issus ces nouveaux e-acheteurs ?
Les agriculteurs représentent la part d’acheteurs la plus importante en BtoB avec presque 1 acheteur sur 2 qui consomme en ligne. Le secteur agricole est suivi de près par le commerce de gros et de détail (40%), et par le secteur de la santé (38%).
POST-PANDEMIE 1
Stripe & YouGov publient une étude sur l’impact de la pandémie sur les habitudes d’achat en France et en Europe
L’Institut de sondage YouGov a publié une étude pour Stripe, le leader du paiement en ligne, dans le but d’étudier l’impact de la pandémie COVID-19 sur les habitudes d’achat dans plusieurs pays Européens.
👉 Les marketplaces sont incontournables pour les acheteurs Français !
L’étude révèle que plus de 1 français sur 2 (52%) déclare préférer effectuer ses achats sur un seul et même site en ligne plutôt que de fragmenter ses achats sur plusieurs sites ou commerces indépendants.
En France, ce phénomène d’engouement pour les places de marché est encore plus marqué chez les millenials : 62% d’entre eux disent préférer ce mode d’achat.
👉 Pour quelles raisons les français s’orientent-ils vers les marketplaces ?
Les français préfèrent le côté pratique (37%) et l’étendue de l’offre proposée (37%). En troisième position c’est la notion d’inspiration qui revient avec 33% des consommateurs français qui apprécient découvrir de nouveaux produits et de nouvelles marques grâce aux places de marché.
👉 Quelles perspectives pour les marketplaces ?
Selon les prévisions de Gartner Predicts, 75% des achats en ligne passeront par les marketplaces en 2022. Un chiffre qui souligne l’importance pour les e-commerçants, d’être dès à présent, actif sur les places de marché.
POST-PANDEMIE 2
Kantar publie une étude et définit 4 profils de consommateurs français post-pandémie
Kantar a réalisé une étude auprès de 25 000 shoppers en France, au Royaume Uni et en Espagne pour définir 4 types de shoppers selon leur exposition aux tensions économiques post-pandémie.
Du plus préservé au plus vulnérable aux tensions économiques, voici un zoom sur ces 4 profils consommateurs.
- Les préservés (20% des Français) :
Ce sont majoritairement des retraités qui ne connaissent pas de difficultés financières particulières au sein de leur foyer.
Une population plutôt optimiste pour l’avenir avec 59% des sondés qui n’envisagent pas une dégradation de leur situation financière post-pandémie. Pour 1 shopper sur 2, il est cependant important de privilégier les achats en commerces de proximité pour soutenir l’économie locale suite à la crise.
- Les pragmatiques (33% des Français) :
Il s’agit de foyers aux revenus confortables dont les membres sont souvent plus jeunes que la moyenne nationale. Ces consommateurs sont plus à la recherche de produits bios et locaux que la moyenne.
La crise sanitaire n’a pas réellement eu d’impact sur leur situation professionnelle et financière. Paradoxalement, 47% de ces shoppers ne semblent tout de même pas optimistes pour l’avenir. La pandémie n’a fait que renforcer leur intérêt pour la qualité de leur consommation : toujours plus de bios et de produits locaux
- Les combatifs (15% des Français) :
Les combatifs représentent la population la plus jeune des quatre groupes. Ces foyers disposent d’un revenu en ligne avec la moyenne nationale mais subissent une contrainte budgétaire plus marquée que pour les 2 précédents groupes de shoppers.
Ils ressentent davantage les conséquences financières de la pandémie. Cependant, 69% d’entre eux restent optimistes pour l’avenir. Ils accordent leur confiance aux marques et distributeurs pour relancer l’économie du pays ainsi que leur pouvoir d’achat. Des shoppers qui souhaitent orienter leur consommation vers du local mais également vers des promotions.
- Les vulnérables (32% des Français) :
Il s’agit du groupe de shoppers le plus hétérogène. Nous y retrouvons des actifs, des retraités, ainsi que des personnes en recherche d’emploi. Mais tous ont été durement impactés par la pandémie.
Des personnes qui restent très pessimistes quant à leur avenir financier et qui ne font confiance à personne pour améliorer cette situation. Ils sont naturellement très attirés par les promotions et les bas prix et privilégient les achats chez les discounters.
4 profils qui se distinguent par leurs comportements, leurs attentes ainsi que leur vulnérabilité face à cette période post-pandémique.
PIEGES A EVITER
Les 5 pièges à éviter en tant qu’acteur e-commerce direct to consumer (DTC)
Avec la pandémie, de nombreuses marques ont développé leurs ventes en direct to consumer.Aux États-Unis, le taux de pénétration des ventes en ligne est passé de 16% à 35%.
McKinsey relève 5 pièges à court terme, qui empêchent les e-commerçants qui s’adressent directement aux consommateurs (DTC), de se développer avec succès sur le long terme.
- Faire un focus uniquement sur la technologie pour développer votre activité e-commerce
Les e-commerçants privillégient souvent la technologie : mise en place de leur site e-commerce ou intégration d’un module de paiement. Et ce, au détriment de la stratégie de distribution et de gestion des canaux.
Faites du e-commerce une priorité et fixez des objectifs cohérents pour pour l’ensemble des salariés ou des services de l’entreprise concernés par l’implémentation de la vente en ligne : les équipes IT, le service de gestion des stocks, le service DTC…
Chez SteerFox, nous observons encore trop souvent de e-commerçants qui n’alignent pas la stratégie pour l’ensemble de l’équipe avec le développement de leur site e-commerce.
- Privilégier la rapidité de développement pour votre activité e-commerce
Les entreprises DtoC ont tendance à privilégier la rapidité d’installation de leur solution e-commerce. En souhaitant faire évoluer leur solution sur le moyen et long terme, certains e-commerçants ont dû faire face à des coûts exorbitants et des délais d’attente intenables.
Les entreprises DTC ont tendance à privilégier les rapidité de déploiement de leur plateforme e-commerce sans prendre en compte leurs objectifs marketing et commerciaux. A la clé, des coûts exorbitants, et surtout, une non adéquation entre la solution et les besoins réels de l’entreprise.
Choisissez la solution évolutive et adaptée à vos cas d’usage.
- Sous-investir sur le plan financier et compétences humaines
Les entreprises cherchent souvent à amoindrir les risques financiers liés au lancement de l’activité e-commerce tout en espérant un ROI satisfaisant et de manière quasi-immédiate. Pour cela, les dépenses sont très limitées et les compétences humaines souvent empruntées à d’autres services ou fonctions de l’entreprise. Une démarche qui risque d’entraver le développement de votre activité e-commerce.
Créez un « tampon d’apprentissage » dans votre budget. On ne parle pas de dédier un budget illimité mais de débloquer des fonds au fur et à mesure que les objectifs fixés sont atteints.
- Apprendre sur le tas
La plupart des entreprises qui se lancent dans le e-commerce ont des difficultés à comprendre l’économie des unités (soit apprendre à ne plus vendre uniquement en B2B mais aussi à des particuliers). Elles prennent donc des décisions stratégiques qui peuvent parfois ne pas être adaptées à une activité DtoC et donc ralentir la croissance e-commerce.
Approfondissez vos connaissances en e-commerce DtoC pour comprendre où investir, comment définir un modèle de revenus évolutif et rentable, comment mettre en place un marketing d’acquisition efficace, comment établir des partenariats, comment créer une chaîne d’approvisionnement adapté, etc…
- Construire la nouvelle activité trop près du cœur de métier
Beaucoup d’entreprises n’ont pas su distinguer leur entreprise principale et leur nouvelle activité e-commerce. Les politiques internes d’une entreprise ralentissent souvent le développement d’une start-up e-commerce.
Pour rendre votre e-commerce viable et rentable sur long terme, favorisez des méthodes de travail plus agiles et adaptez les processus de décision pour les rendre plus courts et plus simples.
Ne privilégiez pas uniquement la rapidité d’implémentation de votre activité e-commerce. Assurez-vous de prendre des décisions cohérentes avec un succès long terme, dès le premier jour.
NEWS FROM GOOGLE
Les dernières MAJ Google Ads : “pick up later” pour les annonces Shopping, unifications des identifiants uniques et suppression des annonces textuelles étendues.
- Implémentation de la mention “Retrait en magasin à une date ultérieure” pour les annonces shopping
Proposez à vos clients d’effectuer leur achat en ligne et de le récupérer en magasin à une date ultérieure.
Pour pouvoir implémenter cette fonctionnalité à vos annonces shopping, vous devez respecter les conditions suivantes :
- Les annonces Google Shopping doivent être activées sur votre compte Google Ads
- Vous devez identifier quels magasins du groupe d’établissements Google My Business associé, peuvent traiter des commandes en ligne, indépendamment de leur stock en magasin
- Le retrait en magasin à une date ultérieure ne nécessite pas d’informations complètes sur l’inventaire local pour le moment
- Unification des identifiants uniques de produits pour Google Merchant Center
Depuis le 15 Septembre, Google demande à l’ensemble des marchands souhaitant afficher leur flux produits sur Google Shopping, d’utiliser des codes produits uniques (CPU). Sur un système similaire à celui des codes GTIN, Google Shopping souhaite mieux classer et organiser les articles mis en avant auprès des utilisateurs grâce à ce code produit unique.
L’objectif, au-delà d’une gestion facilitée du flux, est de pouvoir comparer plus facilement les mêmes produits vendus chez des concurrents.
- Suppression des annonces textuelles étendues
L’implémentation des annonces textuelles étendues ont permis de rendre les annonces plus fournies grâce à un format différent :
Annonce classique | Annonce textuelle étendues | Annonces textuelle étendue grand format |
1 Titre (25 caractères) | 2 Titres (30 caractères) | 3 titres (30 caractères) |
2 Descriptions (35 caractères) | 1 Description (80 caractères) | 2 Descriptions (90 caractères) |
Google a décidé de supprimer les annonces textuelles étendues à partir de Juin 2022. Vous ne pourrez plus créer ni modifier d’annonces textuelles étendues. Cependant, les annonces créées antérieurement continueront d’être diffusées, avec accès aux performances.
Google recommande de passer aux annonces responsives sur le Réseau de Recherche.
MINUTE LOGISTIQUE
GXO Logistics étudie les tendances de la gestion des retours pour les e-commerçants
Le prestataire de logistique a publié une étude sur la gestion des retours dans le monde du e-commerce. Cette étude se base sur :
- Les résultats de 2 enquêtes réalisées par Statista, auprès de 360 professionnels aux États-Unis, au Royaume-Uni, en France et en Espagne
- L’opinion de 4 000 consommateurs
- Les données internes de GXO
En moyenne chaque année, 35 % des produits achetés sont retournés. Un phénomène qui pourrait coûter aux e-commerçants jusqu’à 604 milliards de dollars en 2025 selon la National Retail Federation (NRF).
Les retours de marchandises sont devenus un sujet crucial pour les retailers : 72% d’entre eux investissent dans ce service et 15% d’entre eux ont récemment investi dans des espaces d’entreposage supplémentaires prévu à cet effet.
Du côté des consommateurs, 42 % d’entre eux ont retourné un article de mode dans les 12 derniers mois. Un chiffre qui pourrait encore progresser même si 57% des consommateurs interrogés sont freinés par l’impact environnemental d’un renvoi.
Les retailers qui externalisent la gestion des retours le font pour éliminer les risques logistiques en interne. L’augmentation incessantes des retours devra être traitée par des acteurs logistiques à la pointe de la technologie et capables d’anticiper le futur taux de retour des produits grâce à leur expertise dans ce domaine.
Le chiffre du mois : 320%
Les transactions d’e-commerce via assistant vocal augmenteront de plus de 320 % d’ici 2023
Juniper Research a publié une étude sur l’usage des assistants vocaux à destination du e-commerce.
La pandémie COVID-19 a créé un besoin d’applications moins tactiles et plus vocales. Un phénomène qui devrait aider à développer les stratégies de monétisation des assistants vocaux. L’étude prévoit que la valeur des transactions e-commerce via les assistants vocaux passera de 4,6 milliards en 2021 à 19,4 milliards en 2023 soit une augmentation de 320%.
Cependant, le rapport prédit que la disponibilité d’un écran sur les appareils d’assistants vocaux sera impératif pour convaincre les utilisateurs d’utiliser leur assistant pour leurs achats. En effet, l’absence d’écran est un frein au processus de décision avant achat. Aujourd’hui, les utilisateurs se servent généralement des assistants vocaux pour s’inspirer et découvrir des produits avant de finaliser l’achat via un appareil supplémentaire, avec écran.
Le défi sera de rendre l’expérience d’achat plus fluide de l’inspiration jusqu’au paiement, depuis les appareils pourvus d’un assistant vocal.
Etude Google du mois
Fidélité dans le retail : Comment encourager ses client·es à retourner acheter sur son site web ?
Dans un précédent article, nous abordions la notion du Messy Middle développé par Google. Il s’agit de la zone d’incertitude et de réflexion connue par le consommateur en amont d’un achat. Ce schéma regroupe 3 phases :
- La phase d’exploration : le consommateur visite les sites des enseignes qui lui viennent à l’esprit et les ajoute à son ensemble de considération.
- La phase d’évaluation : le consommateur compare les offres puis cherche à réduire ses possibilités en fonction de ses critères.
- La phase expérience d’achat : le consommateur passe à l’acte d’achat
Dans une récente étude, Google complète sa théorie en apportant le postulat que ce cycle se terminait souvent par le site du premier achat. Cependant, 25% de ces internautes changent d’avis et la fidélité dans le retail reste fragile.
Google nous aide à mieux comprendre le comportement des utilisateurs pour encourager vos clients à revenir sur votre site. Quelles sont les raisons qui poussent un internaute à visiter d’autres site web durant chacune des 3 phases du Messy Middle ?
- Phase 1 : Exploration
Sur quels critères un internaute consulte-t-il un site e-commerce en premier lors de sa phase d’exploration ?
Le site que je consulte habituellement pour mes achats dans cette catégorie de produit | 38% |
Un site qui offre le plus grand choix de produits | 30% |
Le premier retailer qui me vient spontanément à l’esprit (“top of mind”) | 24% |
Le site de mon retailer préféré | 21% |
Le site du retailer où j’ai fait mon dernier achat dans cette catégorie de produits | 19% |
Mon site de référence pour cette catégorie de produits | 18% |
- Phase 2 : Evaluation
En moyenne, 4,6 sites sont visités par un internaute avant d’acheter un produit en ligne. Selon l’étude Google, 43% des shoppers sont décidés quant au produit à acheter mais veulent quand même jeter un œil à l’offre proposée ailleurs.
Pour quelles raisons les internautes vont-ils visiter d’autres sites internet ?
Pour comparer les prix et les offres | 45% |
Pour être certain(e) de mon choix | 37% |
Pour chercher de l’inspiration, découvrir de nouvelles tendances et voir les avis des internautes | 24% |
Je n’ai pas trouvé ce que je cherchais sur le site du premier retailer visité | 21% |
Autre raison | 1% |
- Phase 3 : Experience
Selon Google, 77% des clients achètent sur le premier site visité. Dans le cas contraire, quelles sont les principales raisons pour lesquelles un consommateur n’a pas acheté sur le premier site visité ?
Trouver le même produit à un prix plus bas | 36% |
Trouver un site qui propose enfin le produit que je cherche | 30% |
Trouver un produit qui correspond mieux à mes critères | 20% |
Acheter sur un site de confiance | 13% |
Acheter sur un site de confiance qui m’a proposé de meilleures facilités de paiement | 9% |
Acheter sur un site multi-marques qui propose des produits introuvables ailleurs | 9% |
Privilégier un site sur lequel j’ai eu une meilleure expérience dans le passé | 8% |
Pour répondre aux attentes du consommateur et instaurer une relation de fidélité, il ressort de cet étude 4 conseils adressés aux e-commerçants :
- Investir dans l’expérience client : fluidifier le scroll, donner le plus d’informations produits possibles, etc…
- Être présent tout au long du parcours de décision de la phase d’inspiration à la phase d’achat pour rester dans l’esprit du consommateur
- Étendre votre offre de produits et enrichir votre catalogue
- Miser sur les promotions et offres à bas prix pour faire pencher la balance de votre côté parmi vos concurrents
Conseil du mois
4 axes pour préparer votre rentrée e-commerce et SEA
Ce mois-ci, SteerFox préparait la rentrée e-commerce et SEA de ses clients. Richard Levasseur, directeur des opérations, livre ses conseils pour vous aider à préparer la vôtre à travers 5 axes. Les French Days sont passés, voici les 4 autres axes à travailler :
- #2 : Le Black Friday et la fin d’année
- #3 : YouTube
- #4 : Le RGPD
- #5 : Pinterest
Success story du mois
Doubler son CA e-commerce BtoB en 1 an face à la concurrence de grandes enseignes.
LF Equipement est spécialisé dans le rachat et la vente en ligne de matériel BTP neuf et d’occasion. L’enseigne regroupe 2 sites e-commerce BtoB : Pro Occasions et Pro Matériel Bâtiment.
LF Équipement a choisi SteerFox en Janvier 2021 pour piloter ses campagnes et construire une success story e-commerce.
Découvrez quelle stratégie croissance nous avons mise en place pour :
✅ Doubler son CA e-commerce en moins d’un an
✅ Augmenter son ROAS de +75%
✅ Multiplier par x3,6 son taux de conversion
Ca vous a plu ? RDV le mois prochain !
Tenté par une analyse de votre potentiel de croissance e-commerce ?
Faîtes analyser vos campagnes pour comprendre les opportunités inexploitées et recevoir un plan d’actions dédié.
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